Cine-Journal (Jan - July 1909)

Record Details:

Something wrong or inaccurate about this page? Let us Know!

Thanks for helping us continually improve the quality of the Lantern search engine for all of our users! We have millions of scanned pages, so user reports are incredibly helpful for us to identify places where we can improve and update the metadata.

Please describe the issue below, and click "Submit" to send your comments to our team! If you'd prefer, you can also send us an email to mhdl@commarts.wisc.edu with your comments.




We use Optical Character Recognition (OCR) during our scanning and processing workflow to make the content of each page searchable. You can view the automatically generated text below as well as copy and paste individual pieces of text to quote in your own work.

Text recognition is never 100% accurate. Many parts of the scanned page may not be reflected in the OCR text output, including: images, page layout, certain fonts or handwriting.

d'obturation peut être réduit à son minimumRésumé : Le projecteur à griffes présente de telles qualités qu'il doit être considéré comme la base de l'outillage cinématographique de l'avenir, parce que seul, il donne la fixité, seul il est physiquement parfait sans être lié aux imperfections mécaniques. Mais l'appareil à griffes a besoin d'être mis à la hauteur de ce qu'on lui demande, son rendement lumineux doit être amélioré et les organes doivent être rendus plus robustes. L'appareil à griffes sera ainsi destiné aux salles de projection qui tiennent à donner un spectacle parfait sans hésiter à payer un opérateur sachant son métier. L'appareil à tambour, au contraire, ne semble guère perfectible et son avenir est de rester l'appareil robuste pour les exploitations de second ordre passant de vieilles bandes, parce qu'il est facile à charger et à employer. Tous les efforts des constructeurs doivent donc tendre à rendre cet appareil encore plus simple, à le fabriquer par voie mécanique, a assurer l'interchangeabilité des pièces — ce qui n'est pas réalisé jusqu'ici à cause des méthodes de fabrication — et par le même moyen à en rendre le prix plus accessible pour les plus petits exploitants. A. Jonon. La Cinématographie en Couleurs M. William Gamble donne, dans le Process Yar Book, quelques détails sur le procédé de cinématographie en couleurs inventé par M. G.-Albert Smith, F. R. A. S., et dont la démonstration a été faite à Paris, il y a quelques mois dans la salle de la Société des Ingénieurs civils. M. G.-Albert Smith travaille depuis fort longtemps déjà à toutes les questions qui touchent à la cinématographie et il a pu acquérir, dans cette importante branche de la photographie, une très grande expérience qui le mettait dans d'excellentes conditions pour la solution du problème délicat de la cinématographie en couleurs. Avant de commencer toute recherche, MG.-Albert Smith s'est imposé certaines conditions à remplir et il s'est attaché à ne pas se départir du programme qu'il s'était imposé dès le début. Tout d'abord, il fallait que le procédé permît d'utiliser les appareils cinématographiques ordinaires que l'on trouve par milliers sur toutes les parties du globe, et il fallait, en outre, que l'adaptation de l'appareil pour la projection des images en couleurs n'empêchât pas son utilisation pour les projections animées ordinaires en noir. LOCATION DE FILMS ====== Téléphone 944.14 Les meilleurs Programmes Dans les conditions les meilleures SE TROUVENT A L'UNION CINEMATOGRAPHIQUE 34, Rue CharlesBaudelaire — 118, Faubourg Saint-Antoine