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des griffes qui entraînent la pellicule, dont le parcours est presque rectiligne;
2° Le système reposant aussi sur l'emploi de mouvements exclusivement circulaires, qui sert à faire varier la vitesse de rotation de la manivelle, de manière que celle-ci soit très réduite au moment de l'attaque de la pellicule pour ne pas détériorer la bande, et réduite aussi à la fin du parcours pour assurer la stabilité de l'image. La manivelle a, pendant le premier demitour, une vitesse beaucoup plus grande que pendant le second, ce qui imprime à la pellicule une vitesse d'ensemble suffisante. Ces résultats ont été obtenus en plaçant sur une bague qui décrit un cercle, un goujon qui sert d'intermédiaire entre l'axe de la manivelle et un autre axe qui tourne uniformément et qui est l'axe moteur.
Voici l'indication des principaux calculs:
1° En écrivant que la force vive de la bande, accrue du travail des frottements, égale la quantité de mouvement communiquée par le choc des griffes, on a une équation permettant de calculer la vitesse à donner à la bande et la limite qui ne peut être dépassée sans danger pour la bande;
2" La vitesse nécessaire pour la stabilité s'obtient en tenant compte de ce que la résistance due au frottement doit dépasser la force d'inertie, et que la force vive de la bande et de la bielle doit être inférieure au travail nécessaire pour surmonter les frottements dans l'ouverture.
3" Un procédé graphique permet alors de calculer la longueur des divers bras du mécanisme.
G.-H. N.
La Bougie internationale
Dans le but de déterminer aussi soigneusement que possible les rapports des unités photométriques d'Amérique, de France, d'Allemagne et de Grande-Bretagne, des comparaisons furent faites à différentes reprises durant les dernières années entre les unités lumineuses conservées au Bureau of Standards de Washington, au Laboratoire central d'Electricité de Paris, à la Physikalisch-Technische Reichsanstalt de Berlin et au National Laboratory de Londres.
L'unité lumineuse du Bureau of Standards a été conservée par l'intermédiaire d'une série de lampes à incandescence électrique dont les valeurs avaient été déterminées à l'origine en fonction de l'Hefner.
L'unité lumineuse du Laboratoire central d'Electricité est la bougie décimale, vingtième de l'étalon défini par la Conférence Internationale des Unités de 1884 et qui est prise comme 0,104 de la lampe Carcel conformément aux expériences de M. Violle.
L'unité lumineuse de la PhysikalischTechnische Reichsanstalt est donnée par la lampe Hefner brûlant dans une atmosphère à la pression barométrique normale (0 m. 76) et contenant 8,8 litres de vapeur d'eau par mètre cube.
L'unité lumineuse du National Physical Laboratory est donnée par la lampe de 10 candies au pentane de Vernon Harcourt brûlant dans une atmosphère à la pression barométrique normale (0 m 76) et conte
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