Cine-Journal (Jul-Aug 1914)

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(n’est-ce pas M. H. Etiévant, n’est-ce pas M. Jean Kemm, n’est-ce pas M. Lorrain) vient de faire une première expérience avec l’Aiglon, adapté du chef-d’œuvre d’Edmond Rostand et remarquablement mis en scène par M. Chautard, qui connaît bien son épopée napoléonienne, et pour cause (il a joué plus de 500 fois le rôle de l’Empereur dans Mme SansGêne) . Mais la tentative de M. Hertz n’a pas été couronnée de succès. L’époque à laquelle le directeur de la Porte Saint-Martin a voulu présenter V Aiglon était évidemment mal choisie. Je me suis laissé dire, en outre, que le film n’était pas bien présenté. Enfin, le Châtelet qui est le plus vaste de nos théâtres, n’est pas bien situé et on n’est pas encore habitué à prendre un taxi pour aller au cinéma, surtout quand on a une scène à proximité. Mais là où M. Hertz a échoué, d’autres ont réussi. Rappelez-vous l'Enfant prodigue, aux Variétés. Rappelez-vous Les Chasses de Rainep; Quo Radis, qui fut joué quinze jours de suite à l’Hippodrome. Un exemple plus frappant peut être constaté en ce moment au théâtre Réjane : Les expéditions du Capitaine Scott, qui sont repré sentées depuis deux mois, obtiennent un tel succès, qu’il est impossible de trouver des places quand l’écran commence à s’animer. Les beaux spectacles attirent les foules et les feraient aller au bout du monde. Un exemple typique et que j’allais pourtant oublier, fut la présentation dans une petite salle de la rue Le Peletier, du match JohnsonJef fries. Pendant les premiers soirs, le prix des places dépassait 1 0 francs et on refusait du monde. Et ce film fut donné pendant trois mois sans que son succès se soit ralenti un seul instant. Ces tentatives peuvent faire réfléchir les directeurs audacieux. {A suivre.) A. DuFiLM. “FILIVIEM” Le seul Journal cinématographique pour :: :: la Suède et la Norvège :: :: Le plus sûr instrument d’affaires :: cinématographiques édité :: COPENHAGUE, 33, Horregade, 33 Prix d’abonnement : 8 couronnes Lampe-plafonnier JUPIIER vmiE gmiEii de puise de vde est vieux jeu et il est installé en dépit de tous les principes d’économie, si vous employez d’autres lampes que celles qu’utilisent presque toutes les Fabriques de Films importantes. Ces lampes sont : La Lampe cinématographicfue JUPITER, â pied. La Lampe^plafonnier spéciale JUPITER. La Lampe JUPITER, à main, dite Lampe Gamin. La Lampe JUPITER, à efFets solaires, de 12.000 bougies. Soeiété SlBctropMyrapliipe JUPITER ; Braubactistrasse 24, Francfort s.-le-Mein Lampe JUPITER à main Lampe cinémaloqraphique JUPITER à pied Fournisseur de toutes les Fabriques de Films notoires. Lampe JUPITER à effets solaires avec avant-corps sans verre dépoli