La Revue du cinéma (1928 - 1929)

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DU CINEMA et je ne peux que signaler deux admirables sous-titres, trop longs pour que j'ai pu les retenir, ou 1'insohte dune telle habitation s'inscrit en phrases fulgurantes. L'amour n'a guere de place dans ces images. Pour les deux jeunes heros, il est le pretexte et 1'occasion de percer le mystere. Mais il cede la place a Taction, ainsi qu'il sied en de tels moments. On peut regretter cependant que les reahsateurs n'aient pas insiste sur la beaute des vingt victimes. Dans le meme domaine, je m'etonne de ne pas avoir vu signaler deux films reussis. Drame vecu, ou de tres beaux passages dignes de Nick Carter sont malheureusement divisees par d'inacceptables soustitres narratifs. La copie que j'ai pu voir etait forte ment coupee et ces textes semblaient remplacer des images. Minuii a Chicago contient des scenes remarquablement jouees par Myrna Loy, William Russell et Conrad Nagel. Myrna Loy, que je voyais pour la premiere fois, etonnante de maigreur sensuelle, possede les yeux ]e les ai devines verts — les plus intelligents du cinema. Sa beaute et sa verite la mettront plus rapidement en vedette que les publicites les plus insidieuses ; a vrai dire, elle est la principale attraction de ce film, qui est parfaitement realise, mais ou la tactique policiere et sentimentale remplacent trop souvent l'aventure. B. BR. THE DIVINE LADY, de Frank Lloyd hirst National