La Revue du cinéma (1928 - 1929)

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On voit passer : d abord un bouchon, puis un melon, deux freres des ecoles chretiennes et enfin deux magnifiques pianos a queue. Les pianos sont remplis par des charognes d'anes dont les pattes, les queues, les croupes et les excrements debordent de la caisse d harmonies. Quand un des pianos passe devant l'objectif, on voit une grande tete d'ane appuyee sur le clavier. Le personnage trainant a grand peine cette charge, est tendu desesperement vers la jeune fille. II renverse les chaises, les tables, une lampe a pied, etc. Les croupes des anes saccrochent a tout. La lumiere suspendue au plafond bousculee, au passage, par un os decharne se balancera jusqua la fin de la scene. ^ Quand le personnage est sur le point datteindre la jeune fille, celle-ci 1 esquive d un bond et s'enfuit. Son agresseur, lachant les cordes, se lance a sa poursuite. La jeune fille ouvre la porte de communication par oil elle disparait dans la chambre contigue, mais pas assez rapidement pour pouvoir senfermer. La main du personnage ayant reussi a passer par la jointure, y reste prisonniere, prise par le poignet. A l'mterieur de la chambre, serrant la porte de plus en plus, la jeune fille regarde la main qui se contracte douloureusement au ralenti, et les II