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cinéa
s'étend à la conception même de l'art muet? Faut-il admettre que, de quelque aventureux espagnol, la descendance s'établit, partie dans les Flandres, partie en Amérique?
Le point commun des deux artistes, c'est de prendre leurs personnages par l'intérieur, d'arriver aux gestes par l'âme, de relier toutes les expressions par une unité, une sincérité de vie intérieure qui précise la signification de chaque attitude.
L'analogie cesse en ce que nous avons toujours vu Eve Francis dans des œuvres originales et intéressantes, alors que Pauline Frederick interprète, sans crainte et sans reproche, des mélodrames de valeur terriblement inégale.
Moins nettement mauvais que certains autres où elle figura, ce film reste médiocre comme scénario, quelconque comme réalisation. Il ne fournissait pas grand'chose à l'artiste ; il est merveilleux de voir comment, partant de ces vagues indications, elle a su composer un personnage vivant, sympathique, et qui porte tort — tellement il en fait ressortir le caractère superficiel — à l'œuvre et au reste de l'interprétation.
Lionel Landry.
Son crime.
M. Albert Dieudonné a de son drame une morale sans avoir eu besoin de l'énoncer par des mots, voilà un intéressant résultat, mais le curieux est qu'il a été obligé d'utiliser des rebondissements, d'ailleurs louables. En effet, la première partie de son filmne se singularise pas, il ressemble à beaucoup d'autres histoires où un savant, odieusement exploité, amoureux de la fille de son principal tyran, s'oppose aux spéculateurs. Il y a Les Rapaces et autres pièces ressortissant aux sortes d'observations bien frappées par M. Emile Fabre. Même l'exposition de Son Crime manque d'énergie ou d'ironie, c'est une simple suite de laits. Et tout A coup notre inventeur, à la suite de la mort de son ennemi, monte vers la gloire, il a trouvé un procédé chimique aboutissant à la formation d'un simili-radium doué des propriétés du vrai et qui coûte seulement 1.000 francs le gramme; d'où guérison d'un grand nombre de
cancéreux. On pourrait objecter que
le radium même ne guérit pas le tan
PAULINE FREDERICK dans La Victi\
cer, on aurait tort, car, dans beau coup de cas notés au début du mal. on obtienl de beaux résultats.
L'ascension de 1 inventeur, à qui \niit les honneurs les plus enviés est plus prenante qui' le drame luimême et, quand nous Le voyons devant des personnages officiels, annoncer qu'il si' retire. parce qu'il
a tué, nous sommes surpris tout en
reconnaissant la possibilité du fait. Quelques mouvements ont été bien réglés, par exemple les réceptions à l'institul et a la Clinique, mai filé des malheureux au Mont d< M< té
n'a pas l'accent de la vérité, '1 SU fol
lait moins et de plus • ndes et stm pics. m. Jean Das supporte a peu près tout le poids de l'Interprétation, c'est un excellent artiste.
Le quinzième prélude Chopin.
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très joies;, par sou Chl
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entendu .
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Monet, l'excellent musi< joue a\ se un grand plal
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