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Gmupe de Baigneuses allant à l'eau dans Les Sports et Citpidou.
LES FILMS DE LA SEMAINE
Paraître.
(Royal Wagraw) Pourquoi Helen, la jolie préposée au vestiaire d'un palace, à NewYork, mène-t-elle une vie difficile auprès de sa famille nombreuse et pauvre? El voici qu'elle revêt un des manteaux magnifiques dont elle a la garde. Un client la prend pour une femme du monde. Plus tard, un couturier français de passage présente ses derniers modèles; Helen, pour une heure, devient un de ses mannequins, le plus affriolant même, car, si elle parait en toilette de ville, on l'exhibe ensuite en un déshabillé progressif. Un jeune homme s'éprend d'elle, qu'elle croit riche tandis qu'il la suppose dotée. Je ne conterai pas la suite, mais, sachez que le vêtement, comme dans la vie. \ joue un rôle fort important. Toutefois, ce film, sur un mode connu, brode de très ingénieuses et jolies variations. Il est fort agréable à suivre et Bébé Daniels, qui a toujours joué avec justesse, est, cette lois, une artiste coin plète dans le genre dit sentimental. Ses partenaires forment, avec elle, un ensemble excellent.
Paraître est tiré d'un roman de
Lovell Bryan. Je ne serais pas étonné
que l'auteur y ridiculisât, avec une amertume spirituelle, la manie île juger les gens sur l'habit. Le film
laisse percer une pointe d'ironie sur cette infirmité générale et qui parait incurable.
•
La Bâillonnée.
« Grande série populaire », dit le sous-titre du film. C'est bien ainsi qu'il le tant entendre. Ceux qui ont
plaint les pauvres orphelins de romans-feuilletons et leurs condamnés par erreur, m demeureront pas insensibles non plus aux malbeurs de Pauline Mégret. que Jean de Kcvel a
épousée malgré l'opposition de son
père-, le comte de Revel, imbu, suivant l'expression consacrée, des préjugés de B I Et le baron de i avernj est \a\ bien
vilain monsieur. Pauline est convoi
têe l'a' lui. et il se Bail aider, dans ses machinations, par un certain Pa
turet. que vous ne \oudri. / pat pOUI ami. et qui. pourtant. i l.t tin. Mais, si VOUS ne voulez point connaître le dénouement, Je tiens à ne
pas N ous taire de\ an. el l.i-l elliellt
de la «ni i
Hem iccusé d'un vol
dont il est Innocent, il s'enfuit en
Belgique où la misère le tenaille. 11 n'est peut-être pas nécessaire de narrer en détail les détresses qui suivent, mais sachei que le plus détestable des hommes se châtiera lui même.
Je n'ai pas dit.au long de ce résumé de résumé pourquoi le tilm s'appelle
l.a Bâillonnée. Le bâillon est pris lé
dans un sens s\ mboliqii,
qu'une femme ne peut révéler un secret et bupporte, de son mutisme, des conséquences Imméritées.
Rien à critiquer dans une interprétation dont il tant citer Mines \ndré Lionel. Irène Wells. |al. ,l>.-, t. GlseUe
Mundo, Cécile Blns MM. 1 euh.,-,
1 ,, »naj . Jean I», InlU. Paul i.iu.l. Pardon. Montés. Del monde.
Les Sports et Cupidon
i a comédie du. iporth a est près qin toujours un prétexte i mettre en valeur un athlète plus ou moins co médien. < e film ne lait pas ex< eption
à i.. i, jle, mais il .Mire plu d Intel l l
que se . onc.. II. les i 0*1 m
innette Kellertnann, dan
jeune lille habile a ton |, mène une action suffianmni
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