Cinéa (1922)

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cinéa un plongeon, dans un but philantropique et dans un bassin et aussi pour n'être pas reconnue. A la fin, l'amour triomphera et la vraie Miss Kellermann se conduira très gentiment. Les deux misses sont incarnées par Bébé Daniels sur laquelle il faut compter pour jouer des rôles très difficiles. Elle est jolie, elle est sûrement intelligente, elle a du goût et du tact. C'est une vraie « star ». • La Tornade. Un sujet qui aurait pu prêter à de meilleurs développements :1a tornade est véritablement pauvre, la folie du père médiocrement rendue. Les beaux paysages qui après tout sont peutêtre bien de Puerto-Rico — sauvent la situation. Ruth Clifford est animée d'excellentes intentions, mais inapte physiquement à jouer un rôle fait pour Carol Dempster; le joyeux vagabond est assez réussi, et toutes les notions sont faussées parce que, de deux personnages accessoires, c'est celui qui n'a pas de moustache qui est le traître. • L'Escapade. Une jeune fille, Suzy en villégiature chez son oncle et sa tante, s'échappe pour faire connaissance avec une ancienne danseuse aimée de Robert (cousin de Suzy). C'est que Paméla (la danseuse) n'est point agréée dans la famille. D'autre part, un excellent jeune homme, fort « vieux », craint que son propre frère, Edward, n'épouse la dite Paméla qu'il veut cloîtrer pendant un jour pour éviter un mariage pendant ce laps. Il se trompe et croyant emmener Paméla sur son yacht, il y transporte Su/.y qui d'abord laisse s'engager le quiproquo. Heureusement, a la fin... Enfin, c'est très gentil, tout ça. • La Fille sauvage D'après un roman de M. Jules Mary (est-il antérieur ou postérieur à la pièce de M. François de Curel?), M. Henri Etiévant a mis à l'écran ce film dont je n'ai vu que quelques épisodes. On peut, quand même, y remarquer certaines qualités \u début, le drame est vivant, sans apparence de ficelle. Un Inventeur malheureux et la femme qu'il aime en sont d'abord les héros sympathiques. Ils sont interprétés pur Mme lis eenko et M. Rlmsky qui a prouvé là son talent de composition. Plus tard, une erreur judiciaire menace un bel officier (c'est l'excellent et prestigieux M. Joubé) qui, malgré sou acquittement, se voit déshonoré. 11 part pour l'Amérique OU de nouveaux hasards président à du drame. Une série de scènes policières a peu il imprévu, mais MM. Joubé et Candé y sont excellents. D'ailleurs tOUfl les rôles sont bien tenus par les acteurs que j> \ lens de nommer, puiH par mm. |anvier, Rlmsky, lour» |anskj . Rieffler, Milo, Ingélj Mmes Lissenko, Irène Wells, Lilj Deslys, VolkorekaIa,AngèleDecorl. Btpuis.ls photographia du film est Impeccable • Son Vieux Papa. [Palalë de* / êteê, Le Select). Les comédies de mœurs locales ne nous fatigueront jamais Du moins, tant qu'elles seront i. Sli* naturel ; même s! surtout si elles as content pas d histoires compliquées, elles nous plairont. Combien de films suédois. hien suédois, nous .>nl enthousiasmés ! Des tilms pas sans Iran cals sont excellents. Les allemands et les Italiens »>'iu les seuls ■ pn m nt à ne pas se vouloir reflète! de huis moeurs n\ cinéma w> ont lorl Les \ nglale ont, à leur honneur, réussi La Petite Marchande^ de Plccadtlly. il est vrai qa il» ont raté Le Marchand d' inttuultét v«'i^i s,.;i Vieux /'.»/•./. o'ssl exquis, et pendant toute la projection. l»ahord l'aventure d'uas Blsîncbette brltaa nique qui de la campagne part pour i ondres afin d j devenu dus babils couturiers j est joliment puis, surtout, > haqui ; offre un i ai ai i> i pat lli nll< slqttS Si moral . 1. plus . H . • . selon, par un simple <> ., l'histoire « i si ds Is anglais