Cine Miroir (March 1928)

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168 | — _ Ciné»! L’AU ge2220000000000 0000900 LILLILELELLLELTELLELLLLILILLE) .…, Scénario de M. Karl Mayer, d’après Karl Sudermann ; mise en scène de W. Murnau ; Le fermier vivait heureux, près de sa femme, bonne épouse et bonne mère, qui lui avait donné un fils qu’iladorait. > Réfugiée tout à l'extrémité du bateau, elle serrait Le brave chien SUY SO CŒUTr, comme pour montrer que lui au moins avait une affection très sincère. CLAELLELELL LL] vesrensete, (à À la sortie de l'église, comme des nouveaux mariés, ils allèrent ensemble chez le photographe. N fermier vivait heureux de son travail, auprès de sa femme et de son enfant, mais le bonheur des humains est fragile. Une femme Ge la ville vint en villégiature non loin de la ferme et, beauté fatale, entrepee de se faire aimer par le fermier et de ‘emmener à la ville. Mais il fallait que l’homme se rendit libre. Diabolique, la femme de la ville lui suggéra qu’il pouvait facilement se débarrasser de sa femme en faisant croire à un accident. Peu à peu, l'idée du crime prit corps dans esprit. du fermier subjugué et, un jour, il emmena sa femme pour une longue promeuade en canot, bien décidé à la jeter à l’eau. Mais, au moment de commettre son forfait, épouvanté, le fermier se ressaisit, et, comme sa femme avait deviné sa terrible détermination, il la supplia de lui pardonner. Le bateau touchait la rive ; la femme, toujours sous le coup de l’'épouvante, s'enfuit sans dire un mot et, sautant dans un tramway, elle gagna la ville. Son mari, cependant, l'avait suivie et parvint à la rejoindre. A ce moment, ils aperçurent un cortège nuptial qui pénétrait à l’église. Tous deux, ils entrèrent à sa suite, et là, sur les grands bancs de bois du lieu sacré, serrés l’un contre l’autre, il leur sembla qu'ils ne se connaissaient pas auparavant et que c'était leur mariage définitif édition FOX-FILM.. asosccesesenseese CET TISLETEIIILLITILILLEILIILLIILE RC ns qu’on allait enfin célébrer. Les deux époux réconciliés restèrent ainsi dans la cité en fête, fort avant dans la nuit, et s'amusèrent éper dument. Au retour, tandis que leur barque traversait le grand lac, d'ordinaire si tranquille, une tempête aussi subite que violente éclata. Le frêle esquif, ballotté et soulevé par des vagues énormes, menaçait de chavirer et de précipiter le fermier et sa femme dans l’'abîme. Chez elle, à ce moment, dans sa chambre tiède, la femme de la cité it à son bonheur e. Elle calculait que le fermier avait mené à bien l'acte qu’elle lui avait suggéré d'accomplir, et elle pensait qu'il allait bientôt venir se jeter dans ses bras. Hélas ! le pauvre fermier en péril ne pensait, au contraire, qu’à protéger son épouse contre les éléments déchaînés. Vite, il lui noua autour du corps une ceinture de roseaux, qui peut-être, pensait-il, l'émpêcherait de couler. Il était temps. Une vague plus furieuse retourna l’'embarcation, et bientôt il ne vit plus rien qu'un petit point noir, qui flotta quelques instants et bientôt disparut. Dans la nuit et dans l’eau il nagea éperdument et, un peu avant l’aube, il réus osoosesosscsessecee® La femme de la cité, Diabolique, elle lui s facilement se débarr.