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uggéra qu'il pouvait iSser de sa femme.
DISTRIBUTION
George O'Brien .. .…. . L'homme.
Janet Gaynor .. .. .. . Sa femme. Margaret Livingston. La femme de [a ville. Bodil Rosing .… .. .. .. La bonne.
J. Farrell Macdonald. Le photographe.
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sit à atteindre un rocher et à s’y reposer.
La tempête s'était maintenant apaisée. Qu'était devenue sa femme?
. En vain, l’appelait-il à tous les échos, nul ne répondait.
L'alarme fut vite donnée et les secours s'organisèrent. Toutes les barques
pe à la recherche de naufragée.
Des rameurs découvrirent bientôt un paquet de roseaux ds et voguant épars. C'était la ceinture de sauvetage improvisée que le fermier avait tressée en hâte ur essayer de sauver sa femme.
Aucun doute ne pouvait subsister : la malheureuse devait être noyée,
Le fermier rentra chez lui, la mort dans l’âme.
Tandis qu’il se lamentait,
il entendit une douce voix ui l'a it et qui essayait e le réconforter en lui di
sant des mots d'amour
c'était la femme de la cité qui venait vers lui.
Tout cela, le retour dans la nuit, le naufrage, les roseaux, les appels, les lamentations, tout cela n’était pour elle qu’une habile mise en scène.
Elle s’imaginait sincèrement que le fermier, pour lui obéir et pour être à elle, avait combiné tous ces détails avec minutie pour égarer les soupçons.
Le pauvre homme, ce
Tandisqu'ilétaitlà
dans la barque, le dos voté, le regard imauvais, ellejotgnit les mains en un geste de prière.
Assts côte à côte sur le banc de cette humble église, tlsécoutaient les paroles du prêtre, et il leur semblait qu'une vie nouvelle pénétrait doucement en cux.
Il marchait seul dans les champs sombres, comme un halluciné que poursuit une idée fixe.
dant, sanglotait amèrement sur son nheur reconquis et aussitôt perdu.
Aux mots qu'on lui murmuraït, il releva la tête et se souvint. Il se souvint de l’horrible crime qu'il avait failli commettre, il se souvint des yeux implorants de sa femme, qui avait lu dans son âme, puis de la poursuite à la ville, de l’église, de la joie du bonheur retrouvé et de nouveau anéanti.
Alors, les veux mauvais, les doigts crisRS il se précipita sur celle qui était cause
e tout son malheur, pour la tuer.
Mais, au moment où ses maïns allaient l’étrangler, une rumeur, qui allait dissant et s'approchait de la maison, arriva jusqu'à lui : on avait retrouvé sa femme.
Elle n’était pas morte, on allait pouvoir
la ranimer. Déjà, elle tournait vers lui ses bons yeux clairs, où il avait si souvent puisé le courage d'accomplir sa tâche quotidienne. Alors, le fermier lâcha la gourgandine : — Va:-t'en, cria-t-il, va-t'en loin de moi, tu es le démon du mal, le démon qui avait
‘abusé de ma faiblesse et de ma bonté; je ne
veux plus jamais entendre parler de toi. La ville n’est pas faite pour moi, ma place est ici.
Et il se précipita à genoux auprès de sa femme, comme s’il avait voulu encore une fois lui demander pardon.
Ils allaient enfin pouvoir vivre heureux et tranquilles dans le foyer, où le calme et le bonheur allaient revenir en même temps que l'aurore, qui avait chassé les nuages noirs qui obscurcissaient le ciel.