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ïikalisch tcchnische Reichsanstal d'Allemagne,
du National Physical Laboratory d'Angleterre, du Bureau cf Standards des Etats-Unis et du Laboratoire central d'électricité. Le but assigné à ces recherches étaient de fixer la valeur qu il convenait de prendre pour la force électromotrice du Weston, en précisant les conditions expérimentales dans lesquelles devait être effectué le dépôt d'argent.
A la suite de ces mesures, le Comité international des unités électriques a décidé de recommander pour la valeur de la force éleetromotiice de l'étalon Weston normal, à 20" C, 1.0183 volt international.
Le laboratoire central d'électricité, à partir du I" janvier 1911, se conforme à cette recommandation, ce qui entraîne aussi pour les mesures de résistances l'adoption de l'ohm international tel qu'il a été provisoirement réalisé dans les e>periences de Washington.
Cette manière de faire n'est pas contradictoire avec le décret du 25 avril 1896, sur les unités électriques en France, car cela revient à admettre que 1 élément Latimer Clark a la force électromotrice 1.434 à la température de 1 3.8" C, le décret n'ayant pas fixé la température à laquelle la force électromotrice de l'élément doit être mesurée (E) .
American Kinematcgraph
1 6, rue Grange-Batelière, Paris
M. G. Reynaud, agent général de V American Kïncnalograph, 1 8, rue Haxo, à Marseille, avise MM. les exploitants qu'il est seul concessionnaire pour le Midi de la France du tilm Y Abîme.
Pour les locations, s'adresser directement à M. G. Reynaud, 18, rue Haxo, Marseille.
Transparence des Flammes
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re réunion de l'Association bripour l'avancement des sciences (sep1910). M. le professeur Callendar a >nnaître quelques résultats de ses recherJr la transparence des flammes. Il mesurait la radiation d'une flamme pleine, au moyen d'un pyromètre Féry, dont la lecture donne une mesure de la radiation contenue dans un cône de petite ouverture, qui coupe la flamme et a son sommet au centre d'observation.
En plaçant derrière la première flamme et dans le même alignement, une seconde flamme identique, le pyromètre indiquait une augmentation considérable de la radiation, mais non le double. La première flamme était donc transparente en partie, et non en totalité, à la radiation de la seconde. Avec une troisième flamme dans l'alignement des deux autres, il y avait encore augmentation de la radiation, mais moindre que la précédente, et, quand le nombre des flammes alignées augmentait, la radiation reçue de chacune d'elles suivait nr.s loi exponentielle décroissante.
Le résultat général de ces expériences serait que des flammes, d'un diamètre de 3 centimètre; ou moins, brûlant à la pression atmosph ;rique, émettent une radiation sensiblement proportionnelle à leur volume et que la radiation de très fortes flammes tendrait à être proportionnelle à leur surface. (J. U. G.).
MÉTREUSES " IDÉAL"
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Académie St. Ulrich-Droeden (Tyrol)
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