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mente pour les autres oiseaux dans une proportion toujours conforme à la diminution de leur grosseur et de leur envergure, comme l'indiquent les chiffres suivants :
Cigogne
par seconde, 1 battement complet + 3/4 de battement.
Bus e par seconde, 3 battements complets.
Goéland par seconde, 3 battements complets + 1/2 battement.
Chouette, Effraie par seconde, 5 battements complets.
Mouette par seconde, 5 battements complets + 1/2 battement.
Pigeon par seconde, 8 battements complet.
Canard par seconde, 9 battements complets.
Moineau par seconde, 13 battements complets.
Les battements des ailes du colibri sont encore beaucoup plus prompts que ceux du moineau. Pour les insectes :
La libellule donne 28 battements d'aile à la seconde ; le macrogloss du caillelait 72 battements d'aile à la seconde ; l'abeille, 190 battements d'aile à la seconde ; la mouche commune 330 battements d'ailes à la seconde.
Or, s'il faut dépasser des instantanéités de l/2.000e de seconde pour obtenir des images nettes du vol des oiseaux, on conçoit qu'il faut des rapidités tout à 'fait prodigieuses pour chronophotographier nettement des mouvements d'ailes d'insectes.
Ces vitesses ont été pourtant obtenues par la réduction de l'ouverture des fenêtres des disques obturateurs du chronophotographe et par l'emploi d'intensités lumineuses très grandes.
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Sur l'affaiblissement des clichés
Lorsqu'une plaque photographique a été impressionnée, développée et fixée, elle est constituée par un snpport quelconque, recouvert d'une couche de gélatine renfermant de l'argent réduit. La proportion d'argent réduit dépend de la quantité plus ou moins forte de lumière qui a frappé la couche sensible lors de l'exposition; elle dépend aussi de la durée du développement.
Lorsque ce dernier a été poussé trop loin, les grandes lumières sont très opaques et le cliché est dur. D'un autre côté, certains objets très éclairés, comme les murs blancs, des glaciers, des cours d'eau descendant des glaciers, donneront souvent des parties de olichés sans détails dans les ombres. Les ciels sont aussi, en général, trop intenses pour que l'on puisse apercevoir au tirage les nuages qui s'y trouvent.
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