Cine-Journal (Aug - Dec 1909)

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II _ClbcJuâ& es ^.^v. o/i.t LrsUme^ Fig. 6 Foyer de l'objectif en avant de l'axe de rotation (Anciens appareils) norama se déroulant autour de lui ; l'opérateur n'ayant qu'à suivre du regard la direction de son objectif. A cet effet, l'appareil photographique utilisé est muni à sa partie supérieure de deux index x de direction démontables, fixés en Alidade dans la direction centrale de l'objectif. Il s'ensuit qu'on obtient des impressions cinématographiques continuesr tout en ayant l'avantage de filmer plus en détail, les parties les plus attrayantes animées et inanimées qui peuvent se présenter dans tout le panorama. Avec ce mouvement de rotation continu, il n'existe aucune complication mathématique, le système à taquets décrit précédemment étant entièrement supprimé. Le point capital est de faire coïncider parfaitement le point nodal (foyer de l'appareil utilisé) avec le centre de rotation du sphéroscope : principe fondamental sans lequel il est impossible d'obtenir des projections cinématographiques parfaites. En général, toutes les prises cinématographiques qui ont été faites jusqu'à ce jour ont été relevées avec objectifs ayant leur foyer en dehors du centre de rotation, contrairement au principe précité. D'où l'impossibilité d'obtenir des juxtapositions parfaites dans tous les plans successifs photographiques, par suite des variations constantes et infinies des angles de prises, ce qui donne aux projections cinématographiques des images surchargées et incomplètes, comme nous le démontre l'exemple ci-après. Exemple. — Prenons, au moyen d'une chambre noire à glace dépolie, ayant son foyer en avant du centre de rotation qui est généralement l'axe de l'écrou du congrès, c'est-à-dire l'axe du trépied, et relevons avec cette chambre deux clichés panoramiques consécutifs par un simple déplacement de rotation en nous guidant par la glace dépolie ; agrandissons amplement ces deux clichés sur un papier sensibilisé quelconque ; essayons ensuite de raccorder cette partie de 'panorama.