Cine-Journal (Aug - Dec 1909)

Record Details:

Something wrong or inaccurate about this page? Let us Know!

Thanks for helping us continually improve the quality of the Lantern search engine for all of our users! We have millions of scanned pages, so user reports are incredibly helpful for us to identify places where we can improve and update the metadata.

Please describe the issue below, and click "Submit" to send your comments to our team! If you'd prefer, you can also send us an email to mhdl@commarts.wisc.edu with your comments.




We use Optical Character Recognition (OCR) during our scanning and processing workflow to make the content of each page searchable. You can view the automatically generated text below as well as copy and paste individual pieces of text to quote in your own work.

Text recognition is never 100% accurate. Many parts of the scanned page may not be reflected in the OCR text output, including: images, page layout, certain fonts or handwriting.

— 10 'parties de ce tout, et nous voici, on le voit, arrivés à cette question de l'image . isolée que nous avions, tout à l'heure, intentionnellement 'laissée de côté. On remarquera que, dans l'étude qui précède, nous nous sommes placé uniquement au point de vue du droit de l'auteur de la 'pantomime, non au point de vue du droit appartenant au photographe qui, avec l'autorisation de celui-ci, a constitué les clichés des cartes postales ou les films de séries cinématographiques, droit qui est, d'ailleurs, incontestable. C'est qu'il n'est .pas sans intérêt de distinguer, quant à leur nature, ces deux droits sinon en France, au moins dancertains pays étrangers, où la photographie ne serait pas, comme chez nous, régie par les mêmes lois que les œuvres littéraires. Le droit sur les clichés et les films est un droit sur photographie et, dans ces Etats, sérail soumis aux lois spéciales à courtes durées; le droit sur la pantomime, au contraire, est un droit sur œuvre IHtcraire et serait régi, dans ces mêmes pays, par les lois iplus généreuses qui s'appliquent à ces œuvres. De là découlerait cette conséquence que le photographe auteur d'un film reproduisant une scène populaire, un phénomène naturel, ne jouirait que d'une protection de courte durée, tandis que celui qui aurait fixé sur la ipellicule les phases d'une pantomime, sons réserve, bien entendu, des droits de l'auteur de celle-ci, bénéficierait de la longue protection due aux œuvres littéraires. Sans insister, pour le moment, on voit quelles conséquences intéressantes pourraient, au point de vue international, découler de cette distinction, au profit soit de l'auteur du scénario, soit du photographe (1), -lin cessiônnaire. Ed. Sauvel. (Bulletin de la Chambre syndicale française de la photographie.) (1) Bien souvent, le photographe sera luimême l'auteur du scénario. Les Attractions "MIRAX" Nous sommes heureux d'apprendre que la maison Clément, 30, rue des Petites-Ecuries, à Paris, vient de faire paraître un important catalogue de ses attractions Mirax. Ce document, unique en son genre. édité' avec k plus grand soin artistique est le répertoire complet des grandes attractions spéciales de M. Clément: projections d'art, illusions d'optiques et grands trucs. Prix du catalogue: 0 fr. 50. On nous informe qu'un film encore inédit, « Emprunt forcé », avec titre en anglais, a été volé à la Compagnie des Cinématographes Th. Pathé. Prière aux personnes à qui ce film serait présenté d'en avertir la Compagnie Th. Pathé. La L J. ROSEMBERG 11, Rue Cadet, 11 — PARIS /WWWWW EN PROJECTION & CINÉMATOGRAPHIE, la pierre d'achoppement élait la lumière. Grâce aux Nouvelles PASTILLES DE TERRES RARES — le PROBLÈME est RÉSOLU. — Un ingénieux dispositif permet l'emploi des Nouvelles Pastilles avec TOUS les SATURATEURS et CHALUMEAUX en SERVICE. LaLUMIÈHE HOÛYËLLE, 11, rue Cadet, Paris envoie franco, à titre d'échantillon, contre mandat de 5 fr., un Porte-Pastille, muni de sa pastille. Demander les Prix par quantités.