Cine-Journal (Aug - Dec 1909)

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— 13 — d'informations de presse à leur égard, — la faute du public aussi, curieux d'anecdotes et de menus détails de la vie privée. Alors, aux bureaux de rédaction, on s'y habitue. Le critiqué se garde de réclamer, tant que l'anecdote lui est favorable ou flatteuse, l'intrusion dans son home; il ne demande pas qu'on restreigne à son œuvre l'étendue du contrat tacite qui le lie au public. Il ne reprend nette conscience de se* limites restreintes que du jour où la visite domiciliaire lui devient contraire. Mais le journaliste pourrait, avec raison, pour atténuer sa responsabilité, plaider la provocation. Henry Buteau, Docteur en droit, Avocat à la Cour d'appel de Paris. ->-•♦*-< Moyen d'éviter l'Altération des Diapositives par la chaleur de la Lanterne à projection. *»* M. Rémond a constaté que sous l'influence de la chaleur des lampes et de l'humidité que contient la couche de gélatine, bien des diapositives étaient altérées. Pour éviter l'action de l'humidité, il recouvre la diapositive de vernis au celluloïd qu'il prépare en mélangeant quatre parties de vernis Japon du commerce et une diapositive sèche comme s'il s'agissait de la collodionner, on en lève au buvard l'excès de vernis, qui tend à former bourrelet sur les bords, on laisse sécher horizontalement et quand la couche est sèche on passe la face vernie de la plaque dans la flamme d'une lampe à alcool jusqu'à disparition de toute trace de buée; ce passage à la flamme peut être fait dès que le doigt appliqué sur la couche de vernis ne produit plus d'empreinte. Le vernis que l'on utilise se prépare en dissolvant du celluloïd aussi pur et aussi blanc que possible dans l'éther amylacétique à saturation : on décante la partie limpide et on ajoute de l'éther amylacétique jusqu'à ce que le liquide ait la consistance de la glycérine; on ajoute alors l'alcool absolu, on filtre et le vernis est prêt à l'usage. Il faut éviter de s'approcher soit d'une lampe, soit du feu pour préparer le vernis ou l'utiliser. On bouchera soigneusement le flacon et on l'éloignera de tout foyer; s'il devient trop épais on l'additionnera d'alcool et au besoin d'éther amylacétique, substance dont les vapeurs sont très inflammables. Quant au vernis, il refuse de brûler quand il est incorporé à la gélatine dans des proportions qui ne dépassent pas un quart de celluloïd pour trois quarts de gélatine; dès que la proportion de gélatine diminue, l'inflammabilité reparaît. {Bulletin de la Société Lorraine.) «#£ Cinématographe Chantant SYNCHROPHONES H. GENTILHOMME Automatique & à main ^ R R 15 95 R 35 SS MODÈLE DÉFIAHT TOUTE COHCURREHCE PHONOGRAPHES AM I HIC \iEURS 7d 7ég 7& 7& 7ég FILMS SYNCHRONISES yg ?ég ?1g 7<g 7& 7& 7<g 7& 7& 7& VENIE ET LOCATION LEVALL01S=PERRET ** 128, Rue du Bois -=SsC -**ff