Cine-Journal (Oct - Dec 1911)

Les Électriciens de Théâtre LES ELECTRICIENS DE THE \ l 'RE Il nVsi pas. au Ihéàtre que des ténors e! des fortes chanteuses, des soubrettes el des jeunes premiers. Vu-dessous d'eux el autour dVux \ ivenl el s^agitent une réunion de travailleurs modestes qui concourent, pour leur part, e représenté: le public ne se doute pas des efforts qui onl été dépensés, derrière te rideau el avanl qu'il se lève, pour l'amuser ' retenir quelques lieures. Vu "•I"1 Ihé iar /" rampe, les herses el lés portants. Les léfinitions données par Moynel de ces divers ippareils restenl encore exactes. La rampe, que toul le monde connatL, esl la igné de lumière qui sépare l'orchestré de ta r il de i 'm. façon les per ionnes qui évoluenl sur la scène quelie que ;ii nnenl les herses, cj lindres elliptiques en iMe, i :m\ ■ • r;i i p i le théâtre el suspendus par les chaînes; comn i l'a dil justement, les lerses sonl des rampes suspendues lu di ssus le la vue du public. Les portants sonl de • esque pi haut, par les tiers les por s. Il y aurail lieu d'ajouter i tte nom sn avec propreté | r ne pai vaise odeur. L'un mouche el "autre le fond, el sui le feu ne prenne pas aux iiiuiils pleins d'eau e1 non l'on en voil dan les plai les bien policés, sans a ( rir à la rivière ou au: tijonnel Pons de Verdun p de France, en 1794, un pe !'!"' le il en général le chef des électriciens qui lie <•>■! insiru ni délirai i i un orga ■ |mii« ,|,. l'orgue. I , " . '■ 1 . • < 1 1 • i < • i ! . '• en i'lïi'1 per de jouer de la lumière d'une Bacon anan1 à celle donl on joue des sons. Ne sont las d'ailleurs des for de la ■■ vibration » iines dan leur origine, différentes dans ■s effets ci dans leur emploi? les définitions rappelées, il non ri itrer à qui esl confié le service de l'élec té dans les Ihéâtres, el < nenl il est ili. l'Opéra, depuis .plCupir i-. 1rs l'Oipl-OyéS ouvriers éieclriciens dépendenl de l'admiration môme du théâtre. Us sonl payés par Pour son début en faU Et souffler toutes les / souffleur, chandelles. gir-'.'^ù, '''„'," tanhi^-T're, iplàcer la lampe à double. ( ran-t d'air et à éfleçteur, inventée ! Le 6 février 1822 le gaz fil son ap: pari lion à l'Opéra. ie jour m sme de la première représentation d' \ladin ou a Lampe merveU leuse, opéra nom.-, m el pi sthume de Nicole. L'emploi du gaz se répandu lans tous les théa 1res; la Comédie-Française i ependanl conserva longtemps i r | i rampe l' Selairage à l'huile. «■"riinif m. iiu r i: . les velix des ac leurs. Le gaz enfin, dans c 's viimi dernières années, a été peu à peu él miné des théâtre^ par rédecTricKé. Il n'est pas i i!,. de dé erminer comment, ••nlre l'éclairage iuloirs el des loges d'artistes, se fail la scène proprement dite, L'éclairage le la scène se PaU mange, de deux catégories: aussi l catégories existenl dans tous les i a le personnel fixe, ou la « bris à l'Opéra '.' électriciens dan la brigade el moyenne 33 accessoiristes, en loul i.) homin employés au service de l'électricité par repi -entai ion. Les hommes de la brigade uni ->i0 frai par mois pour IO'i représentai jons tit un su plénienl pour chaque représentation ajouté ce chiffre: parmi les ;ircessoirisles. 1. sorl