Cine-Journal (Oct - Dec 1911)

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Cinéma " ÉCLAIR 8, Rue Saint-Augustin, PARIS Téléphone 130-92. Adresse Télégraphique : CINÉPAR-PARIS il TARDIVE RÉPARATION epl'l d'u Vé son pi i Si' SOI! ('lUlSl'llIl'IUl'Ill. l'I l|ll;illll II' jl'l me avanl passé outre, veul lui présenti r emme' il les i tous les deux à la porte a maison paternelle. iii uns onl passé. M. Desrumeaux, regrel s;i dureté envers son fils, s'inform i di i1 apprend < 1 1 1 ' I J i'si iinn-i l:iiss.-mi ili'iix es filles, mais la mère a disparu, e le ses 'i îux enfante qu'il esl impuissanl â mver! lu j •, Iriste ni assis dans un in puWic, VI. Desrumeaux voil des enfants ir au r de lui. Une toute peti i se blesse. Le vieillard La redève, La dai ies l>r guidé petil porli n fils qu'il la r miène : Cette di rn ■ t! chasse de chez père, loul boul< v de tendresse \ p retourne tnl les revoir. En ifants reviennenl jouer, mais ère, elles refusent de panier au vieil i ée "-t atendrie par son chagrin. le lui promel d'implorer pour lui li éloquence au-dessus de ère p irdonne à celui qu ard, mais qui s'efforci ra ma ute. Un Les Cinq Filles de M. Durand If»!' ■ ■: ■ ■ : ;' IVnfanci l'ar Ivéi de m die i ■ mil mil |iru,ji'li' il'imir leurs Jim des cin i filles Mariel li iz ihie d' a surpris la •aconte à ses -mur La grande ri | r l'une d'elles!... Voilé filles i 'i grand é i. Touti recevoir le Prince charmant. Elles en frais d airo il is el -i co fui ( ■ Mai Mil .pi • illl.'-l'e ■ lutte, timide &l n : -■ laissanl ses -mur accapan r i u se disputer ses faveurs .i parlé, i n menl sous un ki «qu -•m portra prennenl el la raillenl avec indigi Mais touti leui coq Renée qui, par sa simplicité, a plu hom I c'est sa main qu'i , mi| dépil des Iro Durand. Gontran va souhaiter la Fête à sa Tante Im',-7 i oublié phan! se l'approprie el tou4 Irlom l'offre a sa tante. Celle-ci, isin pi i (p 'Ml e que son neveu lui offre , ir qui te. Fmi Qeurs nanl le re rcie avec effusion e bouquet, elle découvre un billet, le lil i die .'1 fui inl que Gontran eul en ache .relie. elle le gifle el sa retire dig Enfin, e lia l'avol La Vie au village en Bulgarie ni des broderies ll'td i ■ orner leurs rcw lmmihIi's plaines. earaclérUlique il rhc vonl i ■ ■i d'un caractère loul «pi cl pas des fiancées S P| lOlltl'S flères il' •■ beaux bablU bi I