Cine-Journal (Oct - Dec 1911)

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LES IDÉES DE M. L AUBERT Marché Cinématographique A? J\ous sommes heureux de publier ci-dessous « in extenso » 1'alloculion prononcée, il y eut jeudi huit jours, par M. Louis Jlubert, au cours d'une réunion privée qui groupait certains Exploitants parisiens et certains Loueurs. Les idées de M. Louis Aubert méritent qu'on les citent: elles appellent l'attention de tous les cmématographistes. Inutile de dire qu'elles représentent une Opinion et qu'elles ne sauraient prendre ici qu'une valeur absolument personnelle. AA.VWVWW A MM. les Membres du Bureau du Syndicat des Exploitants Français du Cinématographe. Messieurs, Après d'importantes réunions Syndicat pour étudier les remèdes tel à la crise actuelle, vous avez bien voulu me convoquer en tant que loueur. Perinetlcz-iiîoi de vous exposer quelques réflexions personnelles sur l'état actuel du marché et de vous proposer un remède qui, dût-il ne pas être suivi, est l'expression de ma conviction sincère et de mon grand désir de voir une industrie appelée à prospérer encore, ne pas tomber faute de confiance réciproque. Le Cinématographe a eu le malheur de ne pas être, jusqu'ici, envisagé comme une Industrie norma'e et durable. Les trois catégories — Editeurs — Loueurs — Exploitants, qui devaient, dès le début, rester bien séparées, se sont mélangées. Le mal est fait, il est trop tard pour y remédier. . . Il ne faudrait pourtant pas l'aggraver encore pour le plus grand profit d'une quatrième : « la Presse. ». La critique des films, inaugurée dernièrement, même si el.e était impartiale, aura à mon avis de très graves inconvénients. En faisant l'éloge de quelques très bons films, environ 1,50(1 mètres sur une production hebdomadaire de 15,000, VOUS dirigerez tous les exploitants sur ces 1,500 mètres de PARIS: 69. HULci'AnSTLKDAn.