Cine-Journal (Oct - Dec 1911)

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sr BULLETIN HEBDOMADAIRE ALBERT de ces fiançailles arrive aussi jusqu'au petit coin du monde, où le prince et Agnès se sont justement juré un amour éternel. L'aide de camp qui le premier apprend celte nouvelle la communipuc au prince avec autant de précautions que possible, mais pourtant l'effet est foudroyant pour lui. Mais c'est encore bien plus terrible pour la pauvre Agnès. Elle ne se doutait aucunement qu'elle avait donné son amour à un prince. Pauvre Agnès. Elle ne peut pas comprendre que le prince ne puisse pas disposer lui-même de son cœur. Le cœur saignant, ils se prince dans la peine, et sans être remarqué il va le jour même du mariage cbez Agnès et la décide à le suivre à la capitale pour dire un dernier adieu au prince. Dans le calme soir de septembre, à la lueur des étoiles, les deux infortunés se rencontrent dans le parc du château pour la dernière fois. Silencieux et tristes, ils restent la main dans la main, tandis que les feuilles d'or tombent comme des larmes de sang sur les deux jeunes gens. Aucun mot ne leur vient aux lèvres. C'est le bonheur de deux êtres qui meurt dans cette soirée. sép capitale pour sYnlcn.li C confirmer la pénible vérité, tandis que Agnes reste seule, plongée dans son désespoir. Le mariage est fixé au iî septembre, et plus le jour s'approche, plus le prince est désespéré. Son cœur se porte sans cesse \ei s la pelile maison du bois où, là aussi, languit son aimée. L'aide de camp ne peut pas supporter plus longtemps de voir le jeune ans le château, la fêle bat son plein, jeune princesse est parée pour la prête à se faire acclamer par la r cl le peuple, mais où est le fiancé ? rrive enfin, pèle comme s'il des lait dans la lombe. Il s'avance au de la princesse, mais prés <\i\ lacune jeune femme dont les larmes lenl comme de gros diamants à la ir de la lune. Maintenant le rêve a VÎe est terminé. COL Se BOUTON de col ont été inventés pour le marlyre des hommes. Monsieur en fait la triste expérience. Encore si Madame voulait l'aider. Mais Madame ne veut lien Bavoir, à ce point que le pauvre homme est obligé d'avoir recours aux services de nbr de la f ainsi la jalousie (le sa femme. Tout s'arrangera dans la rue : une jolie femme sauvera Mon ieui de son embarras. Un galant gentleman aidera Madame a s'agrafer. Très comique. K