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De la nécessité Indispensable d'une
Musique appropriée d ns Ie3 Cinémas
SEUL MOYEN MERVEILLEUX
D'Y ARRIVER
(Brevets: L. JANSSENS) (Suite et Fin)
III. — Economies et bénéfices à réaliser par
les éditeurs, exploitants et loueurs de films
par le système.
Il n'y a donc que la synchronisation CinéMusicale qui puisse donner satisfaction à tous, et être appliquée immédiatement de façon toutà-fait pratique et absolument artistique.
Les installations de tout cinéma sont aptes à recevoir application facile et rapide du système. Le tout peut se faire et se fera, sans qu'il en coûte, au contraire, ni à" l'éditeur, ni au loueur, ri même à l'exploitant. Tous, au contraire, en int dar.s de larges proportions, mora
lement et matériellement, le public l'appréciera hautement.
L'invention consiste dans l'accouplement du pianoto, pianola et phonola, déa, delà, piano électrique à rouleaux interchangeables avec nuances automatiques au cinématographe. Tous les exploitants de salles, en outre d'une réalisation artistique désormais absolue de leurs spectacles, y réaliseront un bénéfice énorme sur leurs pianistes et sur leurs droits d'auteur. S'ils occupent un orchestre, cet orchestre aura désormais une partition toute faite en adaptation parfaite de chaque film, grâce au système, et ce, de façon mathématiquement synchrone, chaque film sera .dès lors, comme un opéra sans paroles, ayant sa partition propre. Le film sera presque inséparable de sa musique.
Les articles qui ont paru à propos de cette invention dans le Courrier Cinématographique de Paris, et à propos de « Musique au Cinc ma » dans le Ciné-Journal, e^ reproduits ciaprès, sont concluants. (
L'éditeur de films est donc moralement et matériellement obligé et intéressé à prêter, avant tout, le concours de sa collaboration à l'éclosion et à la mise en pratique de cette invention. Sans délier les cordons de sa bourse, au contraire d'une déper.se à faire par lui, il lui est procuré par le moyen de la dite invention, la possibilité
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