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Quelques Mots
sur les Films
Un peu d'Histoire rétrospective (Suite et Fin)
On a parfois soutenu que, dans les transparents lilms, le développement agissait des deux côtés du film à la t'ois et que, dés lors, il était bien plus accéléré que dans le cas d'une plaque. Ceci peut être vrai, dans le cas du papier au bromure sensible ou encore d'une pellicule dont le support est en gélatine, mais dans le cas du transparent film, le celluloïd est une substance qui n'est nullement perméable au développateur. Plaque de verre sensibilisée et film sensibilisé se conduisent donc tous deux de la même manière lors du développement.
Quand nous disons que ces deux supports se conduisent de même au développement, c'est une façon bien écourtée de nous exprimer. La plaque est rigide et pesante, elle occupe une situation fixe au fond de la cuvette, la surface en est plane. Le film, au contraire, est souple, léger, mobile ; en outre, il est souvent lort long. Les conditions extérieures, si l'on veut, entre la plaque et le film, sont donc toutes changées. Lorsqu'on a plusieurs plaques exposées dans le même appareil à développer, on les groupe en certain nombre dans la même cuvette et on commence le développement. Si l'une ou l'autre de ces plaques se déve
loppe plus rapidement que les autres, on la retire du bain, on la lave et la réserve pour une opération subséquente, faite à part. De même pour une bande ou bobine de films. La somme de lumière reçue n'a sans doute pas été la même pour chacune des douze vues qui constituent la bande, et si nous plongeons le film tout entier dans la bain du développement, nous verrons apparaître en premier lieu celles des vues qui ont reçu le plus de lumière. Il convient alors de les couper, de les laver et de les traiter à part, car si on voulait continuer le développement in globo, ce serait la perte des portions trop posées et de celles qui ont reçu une pose suffisante ; les seules portions sousexposées pourraient être menées à bien. Ce principe de l'inégalité dans le développement met à néant tous les ingénieux dispositifs inventés ces derniers temps pour développer d'une façon égale et continue les douze expositions d'un rouleau. Voici le procédé qui nous paraît le plus pratique pour le développement de films en rouleau. La longue bande est soigneusement passée au blaireau ou, mieux encore, doucement frottée d'un vieux bas de coton blanc. On en saisit les deux extrémités couche en dessous et on la plonge tout entière dans une cuvette remplie d'eau pour la ramollir; de là, et sans la lâcher, on la plonge dans la cuvette de développement, qui doit renfermer largement le liquide voulu, autrement on risquerait de provoquer des bulles d'air qu'il serait difficile de combattre et qui feraient autant de taches par la suite. Pour que la bande soit partout en contact avec le
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