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succès facile de la cinématographle. Non, la pratique raisonnée de l'industrie cinématographique (( spectacle » n'est pas simple du tout : elle exige beaucoup de travail, d'argent, d'initiative et d'habileté. On y devient maître, quand on a quelques dons naturels, à force de îçmps, de volonté et de sacrifices.
-.Beaucoup qui l'ont entreprise sans en connaître les difficultés, l'abandonnent aux premiers échecs, non sans laisser des plumes douloureuses. Par contre, lorsque les caps du début ont été 'doublés, elle apparaît comme très rémunératrice et va pour ainsi dire toute seule sous les yeux vigilants du directeur.
Je pensais précisément à toutes ces choses en assistant ces jours-ci à une représentation cinématographique en province. Films rayés, suppression de tous les titres et de tous les sous-titres, défilé incohérent de vues, sans aucune séparation sur la bobine et avec le seul commentaire d'un « conférencier » invraisemblable.
Quel avenir peut bien être réservé à. pareille exhibition?
Et je comparais à ce spectacle nos affaire; parisiennes, dans lesquelles tout espour ainsi dire irréprochable, mais aiprix de quels sacrifices !
Je recommande en passant — et pour finir — au conférencier de M. Dufayel, cet étonnant bonisseur que j'entendis ces jours-ci et qui, dans le commentaire d'une scène de violente séparation, s'é
cria : (( Si vous ne partez pas, c'est moi que je m'en vas! »
Une surprise me restera toujours, c'est que le public ne l'ait pas pris au mot. G. DUREAU. >— •♦•-«
Tribune Libre
A propos du "Film d'Art'*
Nous recevons la lettre suivante :
Paris, le 20 juillet 1910. Monsieur Diii-.mil Directeur du Ciné-Journal, 30, rue Bergère, Paris. Monsieur, Permettez-moi, au nom de .la Société Le l'ilm d'Art, de répondre en quelques mois à un pussage de la lettre de M. Francfort, parue dans le numéro du 1<"> murant, de votre estimable .journal sous la rubrique Trihiuic Mue: Si jusqu'à1 présent, la Société le Film d'Art
qui
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T ici. mais loul autres que celles supposées
par M. Francfort. .Mais ce qui n'a pas été fait hier peut être l'ail aujourd'hui. Que l'occasion s'en présente donc à' nouveau, el la Société,
iqil.
qil.
anl d'insérer celle réponse, je éer, Monsieur, avec mes remerpés, l'expression de mes séntl
:s.
Le Film d'Art. Pour l'Administrateur délégué. Le Secrétaire général, A. FALLE.
Soriéléo Film d'Art, mais l'un G. D.
tr CINÉMAS "FIX"«^
»»■« ■ 15, Boni. Bonne-Nouvelle, PARIS inumm-pun
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