Cine-Journal (May - Aug 1910)

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FILMS EDISON C^tëornoôG&Jwon. LE PETIT MUSICIEN Drame 307 mètres) l'n petit -;in;in] joue <lu violon dans 1rs rues el gagne ainsi sa misérable existence. La mère ■ •si une pauvi vriére Ayant longuement travaillé elle s'endorl el rêve au passé. Nous voyons ses rêves. Elle esl dans une belle mai-,.111 élégante, penchée sur le ben* au de bod petil garçon. Son mari entre, il est ivre. Elle essaye de faire revivre en lui les beaux sentiments qui'l avail lorsqu'elle l'avait épousé. Mais il la repousse el sort. La pauvre ouvrière se réveille alors el prie. Puis nous assistons à une soirée des plus élégantes. Parmi les convives, nous remarquons l'homme de la scène précédente. Il a vieilli. Il regarde :> la dérobée les bijoux que portenl les dames présentes : il est devenu un vulgaire voleur. On entend le chant du violon, dehors. Les m\ ités fonl i titrer le petil mendianl v iolo niste, qui n'esl lutre que le flls du voleur. Unsi, le pèi i le flls se trouvent réunis. sans Le savoir. Le petil violoniste charme I tssis ■ pai son jeu. il esl félicité el complimenté. La maltresse de la maison prend son nom el son adresse afin de continuer à s'occuper de lui. il esl largemenl rétribué e1 s'en va. Pendanl oe temps, s. m père a dérobé des bijoux. Dès que le pelil musicien esl parti, on remarque qu'il m. impie des joyaux, la' vol, air accuse le violo niste de les avoir dérobés. Nous voyons ensuite le voleur, rentré obez lui, i|ui examine le fruit de Son larcin. Mais il a pris aussi la carie OÙ avait été QOté le II et l'adrese du petit garçon : le voleur constate que c'esl son propre flls ! Epouvanté, le voleur voit se dresser devanl de celle qui tut son épouse, puis celle de son flls, et qui le supplient ! La p un i vrière, cette même nuit, attend le retour de son petit irarron. L'enfant survient. heureux el tend à sa mère l'argent qui vient de lui être donné : au même moment, la porte s'ouvre : le maître el la maltresse de'la maison. OÙ S'était donnée la soirée, apparaissent suivis de h police, lis viennent arrêter le petit voleur : Mais le VOleur lui-même entre. Il vieil' ivouer son crime e1 innocenter son fils. On va l'arrêter. Mais le petil musicien supplie pour son père. T shès, les plaignants retirent leur plainte et s'en vont. Demeurés seuls, p. pèi t la m< gardent, émus inflnin t. El nous comprenons que le « voleur » repentant, ne quittera plus les siens. A la hauteur des circonstances Comédie 121 mètres i déi dont la joie d'être ensembli cesse brusquement, au reçu dune iet i re de la sœur de la jeune femme qui la mande brusqui mi al mp es d'elle an rais le son prochain dépari La jeune mariée s'en va. Henri, le jeune marié, Be sentani trop Beul, invite des jeune-, gens à lui tenir oom p.lL'Ille. 1.1 \i _'!'Mll|.e ,| allll 111110'. bOit, salllli ' jusqu'au malin, indignée de faits si scandaleux la \ ieiiie ciiisinère s'i'ii \a. Henri esl condamné à cuisiner im même Bes repas ! n reçoit une lettre de s. m oncle Antonin Dubois, qui esl i rès unateur de bonne cuisine, Or, Ponole \n tonin B'esl lioijuurs refusé ;'i vnir -a nièce ; arrange au mieux. |„, jeune mariée. Jeanne, revient chez elle et. apprenant l'arrivée de r le Dubois, elle s'habille en cuisinier.'. L'oncle, ra\ i de taire si bon de se récrier sur Le talent de la jeun. cuisinière, n désire même la prendre a Bon service el le lui offre. \ oe moment Henri survient. n faul avouer la vérité. L'onole se faohe d' i bord, mais la Jolie femme a tôt fait de tout concilier et Le tilm B'aohève sur la ]o • peraonn ■ Livraison : 3 Septembre 1910. 15 Kinematograph LE PREMIER Ct SEUL JOURNAL S'OCCUPANT DES AFFAIRES DE CINÉMATOGRAPHIE C'est le et reconnu comme le vér Abonnement dun.\ Journal le plus répandu table Organe du Monde Cinématographique, (ouf l'Union "Postale : 13.80 par an. HERON <S Co LONDON, W . ANGLETERRE