Ciné-journal (1926)

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f i I s 8 1 ! 8 ! i ! ! ï TÆrÆÆ'Æ’ÆT'ÆÆA tJTÆWaTWA ON A DIT DE ! LE DANSEUR DE MADAME LE COURRIER CINEMATOGRAPHIQUE La délicieuse comédie de MM. Armont et Bousquet, qui connut un franc succès lors de sa présentation dans nos salles parisiennes, n’a rien perdu de sa saveur et de son intérêt dans sa transposition à l’écran. DEPECHE I)E TOULOUSE Voici le prototype du film gai, d’une exubérance folle et qui ne manquera pas de dérider les plus moroses. Réalisé par la grande firme U. F. A., dont les Etablissements Aubert distribuent la production en France, il est admirablement interprété par Maria Corda, Willy Fritch et Varkony. PARIS-MIDI Il y a dans le Danseur de Madame un ou deux passages d’une technique vraiment remarquable où le cinéma exécute par Ja succession des images un tintamarre visuel merveilleusement évocateur, le metteur en scène réussissant à nous transporter vraiment au beau milieu des danseurs que secoue un orchestre frénétique... c’est du Grand Art... FILMA En dehors de l’intrigue, du plus haut intérêt comique, nous devons souligner le grand luxe des costumes la stylisation somptueuse des décors, la grande fraîcheur des tableaux de danse, le charme qui se dégage de toutes les scènes sentimentales, et la délicieuse juvénilité des principaux interprètes. CINEMATOGRAPHIE FRANÇAISE L’ensemble de ce film est franchement délicieux, et tout est si frais, si élégant si plaisant à l’œil, ses personnages sont si jeunes, aimables et agréables à regarder, les scènes ont tant de gaieté point forcée, qu’il est sûr de voir ce film obtenir un énorme succès. C’est le triomphe dans le genre comédie où excellait l’Amérique. Technique excellente, photos lumineuses et montage nerveux et rythmé dans les moindres détails. LE LITTORAL Pour not e plus grande joie, les scènes se sont succédées sur un rythme endiablé de jazz où l’excellent orchestre de Mogador a fait merveille ; Maria Corda, qui donne une idée parfaite de la parisienne écervelée, joujou de luxe, snobinette, mais cachant un bon petit cœur sous des étoffes chatoyantes a trouvé en Willy Fritch un partenaire digne d’elle. MUTUALITE DES ARTS Un vaudeville mené d’étourdissante façon par d’excellents artistes, notamment Maria Corda, très appréciée par son entrain et son talent, et Willy Fritch; ce jeune comédien, toujours souriant, est un charmant danseur faisant preuve de grandes qualités. Tous les tableaux sont traités avec une grande finesse et beaucoup d’humour ; l’esprit règne en maître d’un bout à l’autre du film. WÆWÆÆfA $ 8 8 9 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 8 S s SS 8 8 8 8 h 3 2 SS SS SS 8 8 8 8 S s §3 M Deux nouveaux films AUBERT || K fi K