Ciné-journal (1926)

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On a dit de LE PRINCE ZILAIi d e Jules Claretie par Gaston ROUDÈS Adaptée du roman de J. Claretie, que beaucoup ont lu, cette œuvre plait, car chacun s’intéresse aux amours de ce Prince qui aime follement sa fiancée, et apprend le jour de sou mariage qu’elle a été parjure. . (La Lanterne) Gaston Roudès a donné à cette fantaisie princière un cadre princier; les décors sont luxueux à souhait et les paysages choisis avec beaucoup de soin. ( Cinéa ) Pour animer son roman, G. Roudès a su, avec goût, nous évoquer les tableaux les plus enchanteurs de la Riviera et de l’Italie Septentrionale... Florence et ses magnifiques monuments, la Côte d’Azur et ses jardins de rêve servent de décor aux épisodes les plus poignants de son action. (Le Courrier des Cinémas) Le public a fait un très brillant succès à ce bon mélodrame fort bien charpenté et joué sans défaillance par d’excellents artistes, dont la jeune et vibrante cinéeomédienne, France Dhélia, est par toutes ses qualités l'incontestable étoile. (La Semaine Cinématographique) Le Danseur de Madame de MM. Armont et J. Bousquet Voici le prototype du film gai, d’une exubérance folle et qui ne manquera pas de dérider les plus moroses. (Dépêche de Toulouse ) Un vaudeville mené d’étourdissante façon par d’excellents artistes, notamment Maria Corda très appréciée par son entrain et son talent, et Willv Fristch, l’interprète applaudi de « Rêve de N'a I se ». Ce jeune comédien toujours souriant est un charmant danseur faisant preuve de grandes qualités. (Cinœdia) Il y a dans ce film un ou deux passages d’une technique remarquable, où le cinéma exécute, par la succession des images, un tintamarre visuel merveilleusement évocateur, le metteur en scène réussissant à nous transporter vraiment au beau milieu des danseurs que secoue un orchestre frénétique. C’est du Grand Art. (Pans-Midi) En dehors de l’intrigue, du plus haut intérêt comique, nous devons souligner le grand luxe des costumes, la stylisation somptueuse des décors, la grande fraîcheur des tableaux de danse, le charme qui se' dégage de toutes les scènes sentimentales et la délicieuse juvénilité des principaux interprètes. (Filma)