Cine-Journal (1926)

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25 de traître, à la figure tourmentée, au regard fuyant, à la chevelure embroussaillée. Mme Pâquerette, qui présente une amusante silhouette de duègne, complète la distribution de ce film. Les extérieurs du « Criminel » ont été réalisés en grande partie aux environs de Séville, d’où M. Ryder et son opérateur M. Géo Blanc ont rapporté des images sylcndides, pleines de lumière rutilante et d’une éclatante couleur locale. Tous les passage où l’on a reconstitué l’Espagne ont été réalisés avec le plus grand souci de l'exactitude, grâce au concours du peintre madrilène, Fontanals, à qui l’on doit également les maquettes des décors et des costumes. « Le Criminel » s’annonce comme une des productions marquantes de la saison prochaine, tant par le soin et le goût de la mise en scène que par son intrigue émouvante et l’excellence de l’interprétation. Les billets à prix réduits M. Me ssie, Directeur du Splendid-Cinéma-ThéâIre de Choisy-le-Roi, Siège social, 5cS, rue de Chàtcaudun, à Paris, écrit à M. Le Fraper, Directeur du « Courrier Cinématographique » en date du 5 septembre: « Dans la polémique engagée sur les moyens d’augmenter les recettes des salles de cinéma, l'idée de supprimer purement et simplement les « Prix réduits » sous quelque appellation qu’ils soient appliqués, paraît, selon votre dernier article, ne pas être admise par certains de vos correspondants anonymes; c’est regrettable, car les arguments qu’ils produisent ne me semblent pas absolument irréfutables. Le premier de ces arguments : c’est par l’envoi (?) de milliers de billets de faveur à des mil liers de gens qui ignorent ou se désintéressent du cinéma que nous arrivons à en décider beaucoup à y venir, alléchés qu'ils sont par « la prétendue » faveur que « nous avons l’air » de leur consentir. D’abord, est-il bien exact qu’il y a des milliers de gens qui ignorent le cinéma?... alors que tous les journaux populaires spéciaux de cinéma sont dans des milliers de mains, alors que tous les grands quotidiens ont chaque semaine une rubrique cinématographique... Des milliers de gens qui se désintéressent du cinéma ?... ça, c’est vrai : mais ceux-là ne regardent même pas le « petit papier » qu’on leur propose, précisément parce qu’il porte le nom d’un cinéma, puisque cela ne les intéresse pas... Il n’y a que ceux que le cinéma intéresse qui prennent le billet, parce que ce billet existe et qu’il leur permet, sans le moindre effort, de s’offrir le spectacle à meilleur compte que le voisin... Mais, comme le disent très bien (mais peut-être imprudemment vos correspondants, car « Le Courrier » qui se vend sur les boulevards n’a pas que des professionnels comme lecteurs),... ils ne considèrent pas ce billet comme. une faveur que le directeur à l'air de leur consentir, mais comme la représentation exacte de la valeur même du spectacle qui leur est donnée. ...Puisque c’est une « prétendue » faveur, ce n’en est donc « lias une réelle » ; alors pourquoi ne pas remplacer ce billet, ce faux billet de faveur, par l’affichage franc et loyal à la caisse de prix spéciaux pour les jours creux si l’on craint le trop grand vide de la salle ces jours-là ? Le second argument est l’emploi intensif du billet de faveur par les théâtres. Mais, je crois qu’il est absolument impossible d’établir une similitude entre le théâtre et le cinéma ; c'est, à mon avis, deux choses bien distinctes, bien différentes... Pour le théâtre, il n’existe d’abord qu’une seule salle donnant un spectacle déterminé avec des artistes « en chair et en os » que don vient voir et entendre pour eux-mêmes : c’est ce qui justifie et permet les prix très élevés des places; si la pièce est à suc jfiSl ifiiiiiiiiiiiiiiiMiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiimmiiiimmiitiiiiMiiiiimiiiimrimeiiiiiimii tf Le Poste-Double Aubert n’est pas une improvisation réalisée en utilisant tant bien que mal le matériel ancien que possèdent déjà MM. les Directeurs de cinéma. * . iiiiiiiiiiiiiiiuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiHJiiiuiiiiuimiiiiiiiiiiiiii J