Cine-Journal (1926)

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27 cès, elle garde longtemps l’afficbp et les billets de faveur n’apparaissent en quantité industrielle que très tard, quand ce succès commence à s’atténuer et qu’il faut faire alors appel aux moyennes et petites bourses qui n’ont pu se risquer à venir dès le début pour voir le spectacle dans l’unique safie qui le donne et qui ne peut afficher des prix variables à la caisse. Pour le cinéma, au contraire, le même film est donné à la fois dans plusieurs salles et dans plusieurs quartiers; et les prix, même forts, affichés à la caisse, le mettent à la portée de tout le monde pendant huit jours seulement (car nous laissons à part, bien entendu, les cinémas d’exclusivités des boulevards qui se rapprochent, comme genre d’exploitation, des théâtres). Il s’agit donc bien de deux exploitations très différentes, qui doivent recruter leur clientèle de façons différentes, parce que la clientèle de théâtre n’est pas du tout la même que la clientèle de cinéma et vice-versa. Je crois qu’à l’époque actuelle, avec le public averti par la grande presse qui l’incite à fréquenter les cinémas, il faut jouer franc jeu et ne pas avoir l’air de lui consentir une prétendue faveur, mais lui indiquer exactement les prix réels qu’il doit payer pour jouir, pendant trois heures, du beau et bon spectacle qui lui est donné, accompagné d’une bonne musique bien adaptée par l’orchestre. Et s’il n’était plus distribué un seul billet de faveur dans aucune salle, il n’y aurait pas un seul client de moins pour tous les cinémas. Veuillez agréer, etc... » MESSIE. IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIMIIIIIIIIIIIMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII Les rapporteurs français au Congrès International du Cinématographe Voici les noms des personnalités chargées d’élablir au nom de la France les rapports qui seront présentés aux diverses commissions du Congrès International du Cinématographe. Ces personnalités ont été désignées par le Comité de Direction de la Chambre Syndicale, dans sa réunion du 15 septembre 1926. M. Bui’guet (Etude des moyens d’améliorer la production cinématographique tant au point de vue intellectuel, artistique, moral, qu’au point de vue du respect des sujets nationaux, lorsque des films sont tirés de l’histoire et de la littérature. Droits d’auteurs et propriété artistique des films). M. Costil (Etablissement des cinémathèques nationales. Moyens de conservation des films. Moyens de distribution des films des cinémathèques). M. Jean Benoît-Lévy (Enseignement par le film). M. Toulout (Conditions de travail dans les studios. Recrutement et sélection des artistes). M. Montel (Techniciens et écoles de cinéma). M. J.-L. Croze (Presse du cinéma). M. Brézillon (Sjmdicats, Fédérations, Mutualités). M. Roger Lion (Rapports du cinéma et des autres arts, musique, arts plastiques, arts décoratifs). M. Gallié (Organisaion du Bureau International du Cinéma). Le rapporteur général de toutes ces questions, traitées au point de vue français, est M. G.-M. Coissac. Et c’est en cette qualité qu’il sera présenté au Congrès par la Chambre Syndicale. A travers les Publications [égales — Le capital de la Société C. M. Film (Travaux industriels cinématographiques) 1 6, rue de la Chausséed’Antin, est porté à 3.500.000 francs. — Une société, ayant pour objet les productions cinématographiques, est formée, 35, rue de Naples, sous la raison sociale Les Artistes Réunis. La Soufflerie AUBERT répond à la résolution *prise par la Chambre Syndicale le 29 juillet 1926. \ »