Cine-Journal (1913)

Record Details:

Something wrong or inaccurate about this page? Let us Know!

Thanks for helping us continually improve the quality of the Lantern search engine for all of our users! We have millions of scanned pages, so user reports are incredibly helpful for us to identify places where we can improve and update the metadata.

Please describe the issue below, and click "Submit" to send your comments to our team! If you'd prefer, you can also send us an email to mhdl@commarts.wisc.edu with your comments.




We use Optical Character Recognition (OCR) during our scanning and processing workflow to make the content of each page searchable. You can view the automatically generated text below as well as copy and paste individual pieces of text to quote in your own work.

Text recognition is never 100% accurate. Many parts of the scanned page may not be reflected in the OCR text output, including: images, page layout, certain fonts or handwriting.

musique est appropriée au spctacle, et le public quitte le hall en parfait silence à la fin de la représentation. Les scènes sont d’un merveilleux réalisme, ayant été prises dans l’endroit où le Christ a vécu. La mise en croix est poignante de vigueur et de vérité ; nous croyons être transportés en Palestine et voir l’horrible tragédie se dérouler devant nous. L 'Albert Hall peut contenir 1 2.000 personnes, mais le nombre est tant soit peu restreint pour les représentations cinématographiques. Robert Roussel. Voici la traduction sinon littéraire du moins littérale d’une poésie parue dans Referee, revue anglaise : Je le rencontrai dans un bar. Il me dit qu’il avait parcouru l’Univers entier. Il me narra alors les aventures de sa vie. Et je les sténographiai pour les transcrire en [poésie. Il fut attaqué par des bandits dans une ruelle [déserte. Il fut traqué par les plus fins limiers. Il fut attaché sur la côte et laissé là quand la marée montait. Il fut abandonné au milieu de l’océan cram [ponné sur un mât. Il fut emmuré dans une cave qui devait être [sa tombe. Il connut l’asphyxie par le charbon. Il fut étendu sur les rails d’urn. express qui arri [vait. Il fut poignardé en vêtement du matin, tué dans [un costume de soirée ; Il avait sauvé des martyrs des mains des pi [ rates, Il les avait emmenés sur son biplan vers la [liberté. Quand il eut fini, je lui demandai : « Me prenez-vous pour un nigaud ? « Il sourit et me répondit « Je vous jure que [j’avance la vérité, Je suis acteur chez Pathé frères ». (P athé Journal.) 66 — EOHPWfflkmi eiDNOlî-gUBERT MARSEILLE La Compagnie Générale du Cinématographe (L. Aubert) vient d’adresser à sa clientèle du Sud-Est la lettre suivante : Marseille, le 5 janvier 1913. Monsieur, Nous avons l'honneur et le plaisir de vous informer que depuis le 1 cr janvier courant, les services de la location L. Aubert, pour la région du Sud-Est, ont été transférés, 1 , rue de la République, où ils sont réunis au service correspondant de la Société Gaumont. Vous trouverez donc au Comptoir Ciné-Location-Gaumont et Aubert réunis, les programmes complets édités par la Maison Gaumont, ceux édités par les Maisons représentées par la C. G. C. L. Aubert : Nordisk, Cinès, Hepworth, Celio, Solax, Rex, Méliès, Barker... Plus un choix judicieux des films des autres marques : Vitagraph, Itala, Lux, Nestor, Pasquali, Aquila, Savoia, Ambrosio, Royal Film, Bison, etc., etc., soit de 8 à 10.000 mètres de nouveautés par semaine exclusivement achetées pour Marseille et la région. Nous ne doutons pas que vous serez satisfaits de cette décision qui facilitera la préparation de vos programmes et vous prions d’agréer. Monsieur et cher Client, nos meilleures salutations. Compagnie Générale du Cinématographe, L’ Administrateur-Délégué, L. Aubert. L’ILLUSTRÂZIDHE C1NEMAT1RAFICA Le plus important journal de l’industrie Cinématographique en Italie. Paraissant 2 fois par mois Directeur-Propriétaire : Alfredo Centofanti Via P. Cavallolti, 14 MILAN (Italie) CORRESPONDANCE EN FRANÇAIS Abonna * Vous au “ Ciné-Journal 99 C*BST VOTRE INTÉRÊT