Cine-Journal (Jul-Aug 1914)

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6 — Jugement à retenir Après plaidoiries de Marcel Pournin et Lévy Oulorann, la cinquième chambre du tribunal civil, présidée par M. Eugène Dreyfus, vient de décider, qu’un artiste dramatique, engagé sans contrat écrit, est présumé engagé au jour le jour. Comme tel, il peut, ainsi du reste que le directeur du théâtre, rompre, aux termes de l’article 1 380 du Code civil, le contrat, à sa volonté, sans avoir de dédit à payer. îjî * A ta sortie de la Messe Récemment à Ypres, à l’issue de la messe de neuf heures, les fidèles sortant de la cathédrale belge furent très surpris de voir un spectacle inéd t de personnages en costumes moyennageux. Voici d’ailleurs le mot de l’énigme. M. A. Capellani, de la S. C. A. G. L., venait de Bruges pour tourner une scène du drame Pairie, dans le cadre moyennageux de 't^pres. Les acteurs, en costume Xlll'’ siècle, évoluèrent, en présence d’un nombreux public, sur un des côtés de la cathédrale, ayant comme cadre la « Donkerpoort », et la majestueuse façade des Halles M l’échevin Van den Bogaerde, facilita les opérations par un service d’rrdre, à la grande joie de M Caoellani qui put sans encombre faire tourner cette scène particuhère du drame de Victorien Sardou. * ** Anasthasie en Allemagne Le nouveau règlement élaboré par la censure, peur les films cinématographiques, est entré en vigueur dans toute l’Allemagne à partir du I juillet dernier. Ce règlement préi oit une redevance qui doit couvrir seulement les fra s nécessités par l’organ.sat on du service de censure. L’examen des films coûtera 5 marks pour 1 00 mètres de film, 7,50 marks pour 150 mètres et 10 marks pour 200 mètres, et ainsi de suite. Si des films comportent plusieurs scènes, comme dans les Revues de la semaine, ils ne paieront qu’une seule rede ance. L.es parties du film supprimées par la censure paieront comme le reste Le fabricant ou loueur du film reco t une attestation gratuite autor san^ la représentation des pièces acceptées par la censure. Comme chaque film est généralement reproduit, vendu ou loué plusieurs fois, les deuxièmes et suivants nécessiteront la délivrance d’un permis coûtant 1 mark. Les permis seront imprimés d’une façon qui empêchera le plus possible la fraude. La délivrance des permis se fera au plus tard quarante-huit heures après l’examen des censeurs. Les redevances seront acquittées au moyen de timbres spéciaux collés sur le dos du permis et ensuite oblitérées. Par ce nouveau règlement, l’administration a voulu simplifier la censure et abréger les formalités actuelles. Les condensateurs “BONNE PRESSE” Intervierv de G. M. COISSAC, Président d’honneur du Syndicat de la Presse Cinématographique. Nous avons, dans nos précédents numéros, parlé longuement des condensateurs d’autrefois et de ceux d’aujourd’hui, et en même temps que nous faisions ressortir le rôle de cet accessoire indispensable des lanternes de projection, nous avons été appelés à signaler les défauts de certains modèles et les qualités des autres; mais ici, comme ailleurs, les avis sont très partagés : Prenez mon ours, clament les marchands. Sachant bien où trouver la solution des problèmes difficiles, nous avons eu la curiosité d’aller voir, à ce sujet, l’aimable directeur du service des projections de la Bonne Presse, le conseil éclairé de tous les professionnels en quête de renseignements techniques, celui qui, dit-on, « couche sur ses appareils » et, vraisemblablement, les connaît le mieux. Notre excellent confrère et ami, G.-M. Coissac, dans le feu des expériences, était entouré de ses opérateurs, car on ne cesse d’expérimenter, de transformer, d’améliorer, au Cours La Reine. Le Fine Imiertant Jonroal I de l’Industrie Cinématographique en Angleterre : “THE BIOSCOPE” 85, Shaftesbury Avenue, LONDRES. W. AbiDDtmeDts : On ao, 17 frasesSpécimes, SO ceDtlmes. g