Cine-Journal (Jul-Aug 1914)

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— 80 — confirma les remarques de M. Wilkinson et parla des difficultés et des ennuis causés à luimême et à beaucoup d’autres par le County Council de Londres et les autres officiels. « Toute loi est un mal nécessaire », remarqua l’orateur, qui, interpellant le Comité, demanda pourquoi la question ne pourrait être, comme pour la censure, laissée dans les mains de la corporation. M. W.-F. Jury parla ensuite dans le même sens, disant qu’il avait expérimenté maintes fois les films ininflammables et que parmi ceux qu il avait employés, deux seulement avaient été satisfaisants. La session se termina par une requête faite par M. Tyldesley Jones, parlant pour MM. Pathé Frères, faisant remarquer que, au début du débat, un représentant de la Maison Pathé avait affirmé la « réhabilité » des ininflammables. Comme, par la suite, l’affirmation avait été contredite et que le Comité ne désirait pas se prononcer sur la question, il demandait, au nom de ses clients, grands fabricants employant les films ininflammables, l’autorisation de juger de la question par une cross-examination des dernières « évidences ». Jusqu’à un certain point, une attaque avait été faite sur une branche des affaires de la maison; par conséquent, il demandait l’autorisation de cross examiner. Cependant, la requête fut rejetée par le chairman, qui déclara que MM. Pathé seraient entendus plus tard lorsque les clauses des bills seraient soumises à la considération du Comité. La session reprit avec le cross-examination de M. H. Wood, le manager du département de location de la maison Gaumont, déclarant que, d’après lui, une loi était inutile, vu que déjà toutes les précautions étaient prises par les membres des associations. La Maison Gaumont, par exemple, avait tous ses nouveaux films déposés dans les coffreforts (( Milner ». Les primes demandées par les compagnies d’assurances étaient remarquablement peu élevées et cela était une preuve évidente de la certitude que ces compagnies avaient prises des précautions pour les maisons en question. Comme M. Wilkinson, M. Wood indiqua que l’emploi des films ininflammables serait à peu près impraticable en France, que la du CIKÉ-TÉLÉPHOT Système A. VAUTIER-DUFOUR Breveté en France et à l’Etranger ■■■■■■■• Appareil peur la Prise de Vues Cinématographiques à longue distance et à toutes distances s’adaptant à toutes les chambres professionnelles Tous Foyers de 215 à 770 m ni. NOTICE SPÉCIALE SUR DEMANDE F. iVELINE & A. DELALANDE 104, Faubourg Poissonnière, 104 PARIS (X«)