Cine-Journal (Jul-Aug 1914)

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— 87 M. Noël Macklins Cinemazon termina la série au London Opéra Nouse à la fin de la semaine dernière après un « run » plein de succès qui dura quatre semaines. 'Un des traits de la semaine de clôture fut une exposition de films nouveaux sur la vie des abeilles, prise par M. M. Bee Mason, l’éminent naturaliste qui s’est fait justement une réputation pour ses merveilleuses études cinématographiques et photographiques d’insectes. * ** L’Impérial Film Agency ont transporté leurs offices au 2, Gerrard Place, Shaftesbury avenue, W. ; * ; >iî * ; i L’agence sans restriction pour la U. K., le Royaume-Uni, Sauth Africa et Australia de l’Aubert Films de Paris, a été organisée par la Bioscope Film et Supply Company, Ltd. La même Compagnie s’est également réservée l’agence pour les Iles anglaises de la Scandinavie Film Agency de Copenhague et du le Guil projecteur. Robert Roussel. I mW g 2 COLLECTEOK abaissant le veltage des secteurs Courant continu : 220 et 440 vols à 65-70 volts pour les lampes à arc de projection ÉCONOMIE ÉNORME SOCIÉTÉ ANONYME DES Appareys Eeoaoipes y'EleetntP Capital : 220.000 francs 50. Rue Taitbout, PARIS Télépliono : GUTENUERG 24 = 80 Agents demandés pour la France et l’Étranger Situation Financière de la Cinématographie en Angleterre Il est peu de pays où dans les derniers temps, l’industrie cinématographique se soit aussi rapidement développée qu’en Angleterre. Cette extension n’a cessé d’attirer l’attention des groupes capitalistes anglais, qui n’ont pas ménagé leur concours. C’est surtout à partir de 1910 que cet essor s’est fait sentir, et la statistique, sans l’appui de laquelle il n’est pas d’affirmation possible, nous confirme la continuité de cette marche en avant. Depuis 1910, le nombre des nouvelles entreprises est allé en augmentant sans cesse, ainsi qu’il ressort des chiffres suivants : En 1 908, fondations nouvelles 1 2, capital 1 67.000 livres. En 1909, fondations nouvelles 78, capital 708.000 livres. En 1910, fondations nouvelles 231, capital 2.183.700 livres. En 1911, fondations nouvelles 254, capital 1.214.000 livres. En 1912, fondations nouvelles 400, capital 1.627.400 livres. En 1913, fondations nouvelles 544, capital 2.954.700 livres. En 1914, pour 4 mois, fondations nouvelles 1 63, capital 1.495.600 livres. En tout 1 682 sociétés avec 10.350.000 livres sterling, ce qui équivaut à 258.750.000 francs. La moyenne du capital par compagnie s’élève à 6.153 livres; en réalité, il y en a cinq qui travaillent avec plus de 1 00.000 livres. Ce sont : Associated Provincial Picture Houses, 200.000 livres; Amalgamated Cinematograph Theatjres, 150.000; Electric Théâtres, 100.000; United Electric Théâtres, 100.000 livres. Ces cinq compagnies ont leur capital réparti sur un grand nombre d’actionnaires, tandis que beaucoup d’autres sont des groupements privés qui empruntent la forme de sociétés anonymes pour profiter des avantages que la loi anglaise confère aux compagnies par actions. Toutes ces entreprises n’ont pas connu la fortune. Aux brillants espoirs du début ont succédé, pour un grand nombre, les affres de la liquidation ou de la faillite. Il y eut en 1911, 36 faillites de compagnies représentant un capital de 242.800 livres; en 1912, 48 avec 460.000; en 1913,