Cine-Journal (Jul-Aug 1914)

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93 ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ i Tll\ST\UGVJtTTt I ♦ ♦ ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ moins appelés par les diverses Sociétés de la corporation pour opposer les bills. Les témoins ayant été entendus, nous passons maintenant aux « speechës » finals des conseils opposés et de ceux des partisans de la réglementation des dépôts de films. M. Baifour Browne, K. C., le représentant de l’Association des loueurs et de celle des fabricants, durant tout le débat, prit la parole et déclara que les mêmes proportions avaient déjà été discutées lorsque le County Council de Londres avait proposé un bill pour le licenciement des dépôts en 1912, bill rejeté du reste par le Comité du Parlement qui l’avait discuté. Les débats à cette époque étaient pour ainsi dire les mêmes qui avaient lieu aujourd’hui et pas un seul fait nouveau ne justifiait une décision différente. Un grand nombre de loueurs se trouvaient déjà hors de Londres et la nouvelle législation aurait pour résultat de chasser ceux qui s’y trouveraient encore. « Bref, continua M. Browne, pourquoi, s’il y a danger, ne pas protéger les habitants de Leeds et de Liverpool, par exemple, tout aussi bien que ceux de Londres et de Glasgow, je ne vois aucune raison pour une loi partielle ; s’il y a loi, il serait juste de la faire générale. Si des précautions doivent être prises, qu’elles le soient par tous. » Pour conclure, M. Browne fit allusion au peu de soin apporté à l’arrangement du bill et affirma qu’il n’y avait pas de raison suffisante pour nécessiter une loi. M. Browne céda la place à M. Fitzgerald, K. C., représentant le County Council,, qui déclara tout d’abord que le cas en question avait été basé sur le rapport de la commission départementale montrant les dangers de l’emploi du celluloïd et sur « l’évidence » donnée par les inspecteurs du Council chargés de visiter les ateliers et les dépôts. M. Fitzgerald fut immédiatement suivi par M. Lloyd qui prit la parole comme représentant de la Cité de Glasgow. Les « évidences » terminées, le Comité consacra un jour à la délibération, puis déclara qu’il acceptait le principe du bill du County Council qui se lit comme il suit : « (a) Depuis et après le mois d’avril 1915, il sera illégal, pour toute personne, d’employer comme dépôt de films en celluloïd, un local situé au-dessous d’appartements habités. Pour tout local employé comme atelier et se trouvant dans ce cas au moment où l’acte entrera en force, il sera suffisant d’obtenir une autorisation écrite du Council et le dit Council aura le droit d’imposer toutes les conditions qu’il jugera nécessaires pour prévenir et diminuer les dangers d’incendie et d’explosion. « (b) Lorsque les ateliers seront employés en partie pour des travaux dans lesquels on fait usage du celluloïd, une échelle sera placée en dehors pour permettre de s’échapper en cas d’incendie. « Par usines de celluloïd, nous entendons tout bâtiment, dans Je Comté, dans lequel pour la vente, la location ou tout espèce de bénéfice, le celluloïd est coupé, perforé ou filmé. » Cette décision s’applique également au bill de Glasgow. Le chairman ajouta que l’opinion avait été unanime pour l’addition d’une clause donnant à la corporation le droit d’être consultée avant qu’aucune règle ne soit soumise au Home Secretary par les Councils respectifs. Une clause défendant la vente de films aux enfants doit être ajoutée, ainsi qu’une autre permettant le droit d’appel. * La première assemblée annuelle de la London Film Co'mpany a eu lieu la semaine dernière et le rapport soumis aux actionnaires est entièrement satisfaisant. Bien que la production des films n’ait commencé qu’en septembre dernier, un bénéfice de 9.746 liv. ster. a été réalisé dans l’année, jusqu’au 30 avril 1914. Ce résultat démontre la demande énorme qui existe pour les British films qui ont de la valeur. Un dividende de 7 1/2 0/0 sur les actions Les Établissements L. AUBERT sont maintenant installés Ævemxxe de la. Iiéi>xxl>lî<ixue, Téléphone ; ROQUETTE 73-31 et 73-32