Cine-Journal (Jul-Aug 1914)

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— 78 — ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ ♦ MISTiNGUETTE î î t ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ Nouvelles d’Allemagne \%%% (( Plus de petits films! » C’est le cri que pousse dans le Kinematograph de Dusseldorf, notre excellent confrère Horst Emscher, à l’adresse des fabricants de films. Notre collègue ne se trompe pas. Si nous considérons les programmes de nos théâtres, nous constatons que le plus grand nombre des films mesure dans les 1.000 mètres. Il serait évidemment recommandable de varier davantage le spectacle en offrant au public plus de vues, de moindre longueur. Mais le marché lui-même semble s’opposer à une modification et réserve ses prédilections aux bandes de ce métrage. Il devient de jour en jour plus difficile de trouver sur le marché de bons films intéressants et brefs. L’on peut dire que le film humoristique court manque presque totalement en Allemagne, où les exploitants sont obligés pour être servis de s’adresser à l’étranger. Les inepties qu’on leui envoie parfois sont sans limite, et l’on conçoit mal que les fabriques allemandes, qui de façon générale ne craignent pas les initiatives, n’aient pas encore réalisé le type du film humoristique, spirituel, concis et finissant dans un éclat de rire. J’ai entendu souvent prétendre que ces films ne font pas leurs frais. Ou bien faut-il croire plutôt que l’humour allemand est difficilement transposable sous la forme d’une bulle pétillante? La maison Lilm-Vertrieb Hans Lolgen, de Dusseldorf, dont nous avons annoncé la fonda tion il y a quelques mois, au capital de 33.250 francs, a pris une rapide extension. Créé en mai dernier, le jeune établissement se rendait en juin acquéreur de l’ancienne maison Cari Werner, de Cologne, transformait entièrement l’entreprise en l’agrandissant et en lui donnant un esprit nouveau. Ne s’arrêtant pas en si bonne voie, nous apprenons que la Hans Lolgen C“ vient de joindre à son exploitation la mise en valeur des droits d’invention de la Lilm-Lrneuerrings-Geselsschaft, société de remise à neuf des films usagés. Depuis le C juillet, tous les services sont réunis à Dusseldorf, Lreidrichstrasse 2, sous la direction personnelle de M. Hans Lolgen. Seuls les services et les ateliers pour la réfection de films sont restés à Cologne, où ils sont dirigés par M. Joseph Lndres. ❖ ^ * A Berlin, Monopol Lilm Vertriebs-Ges, Hanewacker et Scheler. La maison a son siège social à Berlin et une succursale à Dusseldorf. Llle dispose d’un capital de 36.500 francs. Llle s’occupera de transactions cinématographiques portant sur les films sensationnels apparaissant sur le marché. Ses directeurs sont MM. Adolphe Hanewacker et Gustave Raumord à Berlin, et Pape et Scheler à Dusseldorf. H. B. Abonnez Vous au “ Ciné-Journai ** C’EST VOTRE INTÉRÊT I!|llll;llll1ll!lll1lllllllllllllllllllllllllllilllilllllll»llllllllllllllilllllllllllllllllllllllllillllllilllllilllllilllllllillilllllllillllilllillilil OOOOOÛQOOOOO 0 0 0 OOQOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO Directeur L. LOBEL, ingénieur-chimiste E. C. P. 47, Rub de Bagneux, MONTROUGE (Seine) Téléph. Saxe 66—61 mtVAUX CINEMATOGRAPHIQUES SOIGNES EXÉCUTION RAPIDE