Cine-Journal (1913)

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4 — clans le cerveau d’un concurrent déloyal, et qu’en attirant chez lui la clientèle des enfants « à l’œil », le coupable Directeur n’a pas d’autre but que de détourner à son profit les habitués d’en face ou d’à côté. Mais je demande alors à ce mauvais marchand ce qu’il fera dans quelques mois, lorsqu’il aura, selon son désir, capté la clientèle de son voisin. Continuera-t-il le régime de la gratuité? Acceptera-t-il de perdre chaque jour le bénéfice de 60 0/0 de ses entrées? En un mot, se résoudra-t-il à la ruine inévitable pour embêter un concurrent? Au surplus, nous n’avons aucun intérêt à disqualifier la cinématographie, en offrant pour rien ses trésors. Tel qui venait chez vous quand vos spectacles étaient gratuits, vous lâchera sans scrupules le jour où vous lui demanderez deux sous à la porte. Quant au gros du public, il se demandera, non sans raison, quel peut bien être la valeur d’un plaisir que vous ne faites pas payer et vous êtes assurés qu’il oubliera tout à fait le chemin du cinéma. fl est regrettable que nous soyons obligés de dire ces choses. Le bon sens le plus élémentaire condamne la gratuité du cinéma pour les enfants comme il répudie aussi les bas tarifs pour les grandes personnes. Soyons donc raisonnables. N’écou tons pas les suggestions mauvaises de la concurrence et pensons un peu à l’intérêt de la corporation dans lequel les nôtres se fondent et ne peuvent pas être dissociés. Laissez venir à nous les petits enfants — disait le Christ. Parfaitement! mais faites-les payer! G. Dureau. Le Temps de Pose en Cinématographie Par Jacques Ducom (1) J’ai bien eu votre aimable lettre; je m’empresse d’y répondre. 1 out ce que vous dites en fait de l’énorme latitude dans laquelle on peut obtenir des résultats utilisables en cinématographie prouve l’automatisme de ce genre de photographie, comme de tous les autres du reste, est absolument juste. En cinématographie, cette latitude est peutêtre plus grande, parce que le temps de pose normal, celui résultant de la marche normale de l’appareil, c’est-à-dire impression de 1 6 images à la seconde, correspondant à un temps de pose de 1/40 de seconde, environ, est par luimême et par rapport à la sensibilité normale des couches de gélatino-bromure du commerce actuel, un temps de pose moyen, qui se trouve au milieu des limites des impressions (temps de pose) , où la couche sensible peut donner des images utilisables. Cela se traduit, comme vous dites très justement, par des vues utilisables du même sujet i ) Lettre à M. Ch. Gravier, directeur du Moniteur de la Photographie. BIOGRAPH B. C. §Ie) WELT i LUBIN M. P. SALES AQENCY Limited VENTE DE FILMS : 86, WARDOUR STREET, LONDRES W. Succursale à Paris, 37, rue de Trévise, PARIS * Télép. : 234*80. = Adr. Tél. KALUB10*PAR1S Ecrire pour les Notioes de Nouveautés , ’f Toutes nos Vues sont impressionnées exclusivement sut “Pellicules Eastmann Kodak