Cine-Journal (1913)

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89 rheobold Cinéma Ltd.; capital, 15.000 livres sterling; Cratbridge Picture House, Ltd. ; capital 4.000 liv res sterling; 18 Brandon St. Motherwell Wooiley Bridge Palace, Ltd. ; capital, 3.000 livres sterling; Wooiley Bridge, Glossop Boldock Cinéma, Ltd. ; capital 300 livres sterling; Fleetwood Bearton Rd. Hitchin. Theatreland, Ltd.; capital 5.000 livres sterling; Standard Office Buildings, 134, Fleetstreet. E.C. * ** L un des événements les plus importants de 1 année, (cinématographiquement parlant, le Grand National Steaplechase, va avoir lieu à Ljverpool et sera le couronnement de la saison des courses anglaises. Avec ses haies et ses fossés, le champ de courses est un des favoris du cinéma et le Steaplechase produit généralement les films les plus intéressants de la saison : L' Empire, s’est, comme de coutume, réservé les droits exclusifs de filmer la grande course. * * * Nous avons de bonnes raisons pour croire que la dissention entre les exploitants d’une part et les fabricants et les loueurs ayant signé le contrat stipulant le licenciement et le renvoi des films de l’autre, sera bientôt terminé. Comme les lecteurs du Ciné-Journal s’en souviendront, la publication des détails du contrat fût suivie par une réaction vigoureuse de la part des exploitants, ayant pour but de sauvegarder leurs intérêts. U ne série de metteings considérant l’attitude des Exploitants ont été tenus sans résultats définitifs, au moment où j’écris ces lignes. Pendant ce temps, la Société des Exploitants a envoyé un représentant en Amérique, chargé d’entamer des négociations avec un groupe de fabricants américains. Uhe des principales manufactures des EtatsUnis a offert à l’Association de la nommer son agent principal en Angleterre. * * * Uh loueur bien connu a publié dans le (( Cinéma », une lettre très intéressante dans laquelle il fait remarquer que, dans l’intérêt de la corporation toute entière il est nécessaire que les loueurs protègent leurs intérêts et qu’il ne voit pour eux d’autre moyen que le licenciement des films, quoique lui-même ait été contraire a ce projet pendant longtemps. Il rappelle aux exploitants que la première idée du contrat est due, somme toute, à leur initia tive, car les fabricants dit-il, n’ont pas le moindre désir de former un « trust » et, ajoute-t-il, les exploitants n’ont pas besoin d’avoir peur que le contrat interrompe l’envoi de films de nouveauté. De l’autre côté, un exploitant écrivant au Bioscope, déclare que les mesures prises par MM. Pathé sont dans l’intérêt de la corporation entière et que les loueurs ont essayé de leur passer toutes leurs responsabilités sur les épaules. Robert Roussel. Nouvelles d’Angleterre ET D’AMÉRIQUE Nouvel arreté proposé pour la ville de New-York. — M. A. Morrison, alderman de Brooklyn, a fait prendre en considération lin nouvel arrêté tendant au contrôle de lilms sur le point d’être représentés dans les cinq districts de New-York, à la dernière réunion du Conseil de ville. En voici les grandes lignes : La Commission cinématographique serait composée du Président de la Commission artistique, du Surintendant des écoles, des Présidents de la Ligue municipale des Femmes, de la Fédération des églises de New-York et de la Société pour prévenir le crime, de l’Inspecteur de charité catholique, des représentants de la svnaguoguc et d’autres œuvres philanthropiques et sociales, désignés par le Maire de New-York. Cette Commission ne scait pas rétribuée, mais des bureadx convenables se aient mis à sa disposition par les autorités municipales. La ville la défraierait, en outre, de ses dépenses. Elle assurerait une inspection effective des filpis avant leur représentation, dans lesdiversès salles de New-York. Il y aurait un secrétaire et un secrétaireadjoint rétribués. Les directeurs qui donneraiént des lilms non autorisés seraient poursuivis. Le maire jugerait en dernier ressort. lms autorisations paraîtraient sur l’écran dix secondes au moins avant la représentation du film avec le nom du fabricant. Ledit arrêté doit entrer en vigueur deux mois après son approbation par le Maire. Il a été renvoyé pour étude ù la Commission législative.