Cine-Journal (1913)

Record Details:

Something wrong or inaccurate about this page? Let us Know!

Thanks for helping us continually improve the quality of the Lantern search engine for all of our users! We have millions of scanned pages, so user reports are incredibly helpful for us to identify places where we can improve and update the metadata.

Please describe the issue below, and click "Submit" to send your comments to our team! If you'd prefer, you can also send us an email to mhdl@commarts.wisc.edu with your comments.




We use Optical Character Recognition (OCR) during our scanning and processing workflow to make the content of each page searchable. You can view the automatically generated text below as well as copy and paste individual pieces of text to quote in your own work.

Text recognition is never 100% accurate. Many parts of the scanned page may not be reflected in the OCR text output, including: images, page layout, certain fonts or handwriting.

— 32 mum de 10.000 pieds de films par mois pendant les premiers trois mois, 15.000 peids pendant le quatrième mois, 20.000 pieds durant le cinquième et 25.000 les mois suivants », Il reste à savoir si ces causes seront acceptées par ceux qui ne font pas partie de la Société des Exploitants et qui n’ont eu par conséquent aucune part à la délibération. Quoique les progrès de la Société aient été très rapides, il n’y a environ qu’un tiers des exploitants du royaume qui en fasse partie. * * * Lee films à remarquer la semaine dernière dans les principaux cinémas du West End sont : Le Prince Film « Heard at the téléphoné (Pathé) ; « The Weaker Vessel » (Valetta) ; « Wrecked Livres » (Berge Cinéma) ; « The vengeance of Durand » (Vitagraph) ; « Le Cœur n’oublie pas » (Film d’art Italiana) ; « Le Mystère de la chambre jaune » (Eclair) ; « Drakes Life Story » (Hepworth) , et « Broken Vaths », serments brisés (Solax) . Robert Roussel « L.a police et le cinéma. — Les directeurs harcelés peuvent enfin se féliciter de la décision prise la semaine dernière au Conseil municipal de Middlesbrough, décision qui enlève dorénavant à la police son pouvoir arbitraire sur les cinémas. Ainsi se trouve annihilée la prétention antique de ladite police de priver les enfants du plaisir d’assister aux représentations cinématographiques sous prétexte que les programmes de certaines salles pourraient être contraires à la morale enfantine. Une autre décision importante a été prise, à ce sujet, par les magistrats de Carlisle, qui provoquèrent une conférence de directeurs. Après avoir entendu les avis de MM. Lindon, Travers, Thomas France, Léon Gould et Gavazzi King, secrétaire de leur association, les magistrats demandèrent aux directeurs de prendre les plus grandes précautions dans le choix de leurs vues exposées et leur firent observer qu’il semblait convenable que les enfants fussent accompagnés par leurs parents. * * * Réclames cinématographiques. — Nombreuses et variées sont les réclames adoptées par les directeurs de cinémas pour aguicher le public. Quelques-unes sont remarquablement ingénieuses; d’autres simplement amusantes. En général, elles sont tout à fait inoffensives, sinon inutiles. Chose bizarre, ces efforts d’ingé niosité sont plus en faveur dans le nord de l’Angleterre que dans le Sud, où elles sont plus rares et n’ont point l’humour particulier aux directeurs du nord. * ** L' Exposition de Cand. — Le docteur Perkm a reçu plusieurs demandes relatives à l’extension du terrain réservé à la section cinématographique. Il va de soi que ce terrain est lim té; il importe donc que les exposants ne tardent pas à prendre leurs dispositions en conséquence. M. Harrison Townsend, architecte du Ministère du Commerce (section des expositions) a dessiné le plan du théâtre qui mesurera 62 pieds sur 33 et tous les règlements municipaux de Londres seront strictement appliqués dans sa construction. Il comportera deux chambres d’opération M Cecil Hepworth a réuni le comité. * * * « Sapho » accepté à Bradford et interdit à Leeds. — Le film « Sapho », interdit à Leeds, fut représenté à King’s Hall, Westgate, Brsdcord, la semaine passée. M. William Ferth le directeur, invita les membres du Comité de L’cence à assister à une représentation privée du film. Le dit Comité émit une opinion favorable à la continuation des séancès publiques où se déroulent les scènes passionnantes tirées du chef-d’œuvre de Daudet. D’autre part, les membres du Comité censorial de Leeds assistèrent à une représentation privée du même film, que M. E. Lawson, leur président, avait interdit sans examen préalable. A la dernière séance du Comité, M, Lawson expliqua que lorsqu’il reçut l’invitation d’assister à la projection du film, il était trop tard pour réunir le comité et qu’il en avait seulement suspendu les représentations jusqu’à ce que le Comité ait pu l’examiner. Cette explication fut unanimement admise et par les membres du Comité et par une députation de l’Association des Directeurs de Cinéma du Yorkshire. Bref, après la représentation privée qui s’ensuivit à Toron Hall, les censeurs déclarèrent que « la représentation publique du film Sapho était indésirable ». ( The Bioscope.) Abonnez Vous a» “ Ciné-Journal 99 C’EST VOTRE INTÉRÊT