Cine-Journal (1914)

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LA IVIARSEII-LAISE Histoire de notre Chant INationai ♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦♦ ment, il voit le canot qui a été entraîné par le courant, retenu par les branchages de l’autre côté de la rivière. Il traverse la rivière à la nage et se lance en canot à la poursuite de Mark. Jules parvient à rattraper le bandit, et après une lutte acharnée dans l’eau, parvient à le maîtriser. Dick arrive juste à temps pour voir la victoire de son rival. Jules, toutefois, comprenant qu’ Alice ne lui acocrde sa main que pour tenir sa promesse^ fait à celle qu’il aime le sacrifice de son bonheur, et appelant Dick, il unit lui-même les mains des jeunes gens. ’ Longueur; 315 mètres — Virage: 5 fr. — 1 Affiche en couleurs Met télégraphique : ROMANCE GÉO JANIN COMIQUE « Mon cher Neveu, « Je donne aujourd’hui une petite sauterie; je compte absolument sur toi. « Ta Tante. » Mais comment donc, avec plaisir, vite il se met sur son trente-et-un et enfile ses escarpins qui brillent de leur vernis tout neuf. Tiens... tiens... quelle impression bizarre aux orteils du pied gauche!... et cette impression bientôt se change en un chatouillement désagréable, puis en une douleur lancinante. Justement, les invités, ou plutôt leurs pieds sont très éloquents vis-à-vis du nouvel arrivé et le font passer par des sentiments divers. Quoiqu’il fasse il ne peut réussir à calmer sa douleur et pourtant, pour l’endormir, il se frotte le pied aux meubles, aux chaises, aux canapés, il se surprend même se frottant à la large chaussure d’une vénérable douairière qui, croyant à une déclaration d’amour, se pâme de bonheur dans ses bras. Si seulement ce domestique aux pieds éléphantesques consentait à lui céder ses chaussures... Oh! avec une large pièce de monnaie... mais la tante survient... Il est dit qu’il devra jusqu’au bout endurer son martyr. Pour comble de malheur, voici que les invités lui demandent de leur enseigner une nouvelle danse. Oh! mais voilà l’occasion propice... « Oui, j’en connais une, mais il faut la danser pieds nus... » Ouf, enfin déchaussé, et la danse commence, danse... moderne s’il en fut! quelle joie alors de gambader les pieds nus, libres et légers! Une figure de la nouvelle danse lui permet de s’éclipser et dans le tas de chaussures amoncelées, il en trouve enfin une paire qui ne le fera plus souffrir. Longueur 495 m. environ. — Affiches en couleurs. Mot télégraphique : ESCARPIN.