Cine-Journal (1914)

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VITASCOPE LE KOOK/naKER DRAME Le bookmaker Arthur Dawson se trouvant dans l’impossibilité de payer ses créanciers, fait part de son em.barras à son compagnon Charles Vernot, et lui dit qu’ils auraient tout à craindre s’ils ne pouvaient pas remplir leurs engagements. La mère de Charles, Pauline, dont il ne s’était jamais occupé, est employée comme bonne dans une riche famille et est honorée de la confiance de ses maîtres. Charles s’y rend le soir même demander à sa mère une forte somme d’argent. La pauvre femme s’étonne de la demande de son fils, mais elle ne peut lui fournir la somme qu’il désire. Resté seul pendant quelques instants dans la cuisine, Charles écrit un mot à sa mère, disant qu’il lui faut absolument la somme de 5.000 francs pour ne pas être arrêté, et il s’en va. Ce jour même, M. Robin, le maître de Pauline, reçoit un télégramme qui l’oblige à partir immédiatement en voyage. Dans la soirée, Mme Robin fait l’observation que Pauline se trouve dans un état de surexcitation nerveuse. Soupçonneuse, elle se décide à veiller. Pauline, occupée dans la cuisine, reçoit la deuxième visite de son fils, et comme elle veut lui barrer l’entrée, il la pousse de côté et entre dans l’appartement. Mme Robin entendant du bruit, se lève et passe dans la pièce à côté où elle aperçoit un homme occupé à ouvrir. Un lutte s’engage et Charles, affolé à ja pensée des conséquences de son acte, assomme Mme Robin et empoche l’argent qu’il trouve dans le coffre-fort. Pauline arrive trop tard pour secourir sa patronne qui, avant de mourir, lui demande pardon de 1 avoir injustement soupçonnée. Le lendemain matin, Charles Vernot apprend par les journaux que la police est déjà sur une piste sérieuse. Il prend la résolution de s’embarquer pour l’Amérique.