Cine-Journal (1914)

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93 Nouvelles d’Allemagne L’Association pour la défense des intérêts communs de la Cinématographie et des Industries connexes, dont nous avons annoncé la récente fondation, s’est réunie le 20 mai dernier dans les salles de la Chambre de Commerce de Berlin, en une assemblée générale extraordinaire, en vue de procéder aux dernières formalités de son organisation constitutive. M. Oscar Messter présidait la réunion. Après des débats tumultueux, l’harmonie finit par se faire, grâce à l’adroite tactique du président, et les articles des statuts encore en discussion furent adoptés. On procéda ensuite à l’élection de quatre nouveaux commissaires, ce qui porte à vingtcinq membres, les vingt et un déjà élus de la Commission permanente. MM. Wache, de Dreste; Perlmann, rédacteur en chef du Kinémaiograph de Dusseldorf: W. de Frankenstein, de Berlin; et Weiss, rédacteur à la Photographische Industrie, réunirent la majorité des suffrages. Il est regrettable de constater que dès cette première rencontre, les contrastes se soient assez vivement manifestés entre les membres exploitants et les représentants des fabricants. L’association ne portera des fruits que si les divers groupements ne se laissent pas aveugler par leurs intérêts particuliers et consentent à faire quelques concessions en faveur du bien général. ❖ La famille impériale d’Allemagne aime le cinéma. Nous avons eu souvent à relater le plaisir que le kaiser semble prendre aux représentations cinématographiques. Son fils, le prince héritier, ne cache pas sa sympathie poui ce spectacle attrayant. La semaine dernière, il invitait les représentants de l’Eiko Film C° à organiser dans son palais une représentation intime. Quant au frère aîné de l’empereur, le prince Henri de Prusse, grand amiral des flottes de l’Empire germanique, on sait qu’il vient de se révéler comme un metteur en scène et un opérateur distingué. Faut-il imputer à ces bons sentiments de l’impériale famille à l’égard du cinématographe le succès de la « Lebende Zielscheibe Gesellschaft » qui, à la suite d’une visite que VDnE nTELE DE PRISE DE DDE est vieux jeu et il est installé en dépit de tous les principes d’économie, si vous employez d’autres lampes que celles qu’utilisent presque toutes les Fabriques de Films importantes. Lampe-plafonnier JUPITER Lampe JUPITER à main Ces lampes sont : La Lampe cinémaiographitiue JUS^iTHR, â pied. La Lampe-plafonnier spéciale JUPITER. La Lampe JUPITER, à main, dite Lampe Gamin. La Lampe JUPITER, à effets solaires, de lî.ooo bougies. Braubachstrasse 24, Francfort s.-le-Mein Lampe cinémalographique JUPITER à pied ■jmaMiuiiiÊwau.1 Fournisseur de toutes les Fabriques de Films notoires. Lampe JUPITER d effets solaires avec avant-corps sans verre dépoli Société Éléctropliotograpilipe JUPITER