Cine-Journal (Mar - Apr 1912)

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Cinéma M ECLAIR " Téléph 130 92 8. Rue St-Augustinf PARIS Adr. tél. CINEPAR-PARIS LA FIN D'UN FAVORI Marie Sluarl, reine d'Ecosse, se promeaanl un .-i M. •—.'• < l« ■ nih jn-i.jfii.-i-. jmvnl -a j .. ■ i1 ■ • . r .i . .._ ■ :i i i ■ > 1 1 ■ 1 1 r «If I » t : • ■ 1 1 • >" . ma ri de LMari- Sluarl. essai'' de l'aire i ltizzi'i >•■ sentant une homme .-I i-. ■ [•• .ii-~~'■ brûla).' ni par "uieiin 'par -a niailres-e. le brave. irnle; l« nais Mari.' Sluarl I.. rlisans ont uurdi un plan p.nir la perte pitié cl ii i. urdonni1 qu'il -"il cunduil d.' Itizzi... Ils arrachent l.iarnlej à ns les cuisines du eliàleau. el vi.'iil elle-même >'l. à \«'U prés ivre, iamrii.-n I là 'la i-Im in.'. Mari.' Sluarl l'ail .1. la musique pré de Aiinanl furl la mu-i.pi - -mi Ca\ -.ri. La i-.-in. .-I 1res près Mu .•lianl.'iir... Jeune chant. mu .■! -.■ l'ai i a < • 1 1 ■ i bouf harnley survient brusquement, l'ail entraîner ii. Hizzin malgré J.'s prul .si al b-tis. .1" -a , Peu m p. ni, Hizzin s'insinue dans 1rs bonnes ••! 1.' l'ait tire à murl presque s. m les yeux àci's .1. la reine. Il devient suii favori. Mau;iii 'I' -' s..u\ ■ in ■nient velu, ii >'-n-A^r pal -i \ I • '■ I r. i -^ ■ ■ : ::.',s nelr-'-. M,,| lelégr. : lUZZHl -■iieur .'-.•■ . — , i-. ceux ci | doux -i sa faveur \riiei,, i->u n.u. La Légende de l'Aigle TU NE TUERAS PAS !... -'!■ .i idier est sauvé '.... Mol télégr.; Tl Kit. LE BOULANGER FAIT CUIRE UN HOMME Comédie de M. H. MANEY 1 nue. ! . .ti t effaré, ouvre le four, trou par son pèn avi c mureux Le p m v< es e -s el i chapeau di > [édard demande uissilùl la nain de Jean sûr i! a rail ouire un In. mine! il esl terrifié. m dri m bon ing. e Irouvi ir-r p..u\re -'. • ir. .. . ■ t ■• w i ,-.i. i ..ni douce ni. a rassuré s. m .iai.nii-.-ii-.'. m i de tirer parti de sa rrayeur. .";;,'"";;;,;;: « "1er la terreur du Plie i" rejo ''"■•• . I'';.''!1'!''' """'' viv"'"'"1 rii de tout son oœur de la ruse d< un,... ! Elli n ■ . • p m r dl Lout i m père, Le L VNOBR. \ f i i . 1 . ■ : 180 160, VILLY EST UN ENFANT MARTYR Wlllj esl ir. pro ner. s'esl cachi Tandis qu'on le cherche, il ; impatience il rail tomber une potiche, pal'.'Ilts Bortenl sans lui. \Vill\ plein mil fiii.'ii i : i.i p. .rie. l'uis lui lui vient .i nier les voisins el on lui ouvrira.., n i nec a hurler, à gèles voisins app cierges qui appellent les agenls. Tous orolenl ù l'enfa i irti esl enfoncée. Wl 1 ■ • w rei dre i 1-elll a \\ er se au e..ii ,1 pll.p.e Met 1 Ml. Mol