Cine-Journal (May - Jun 1912)

Record Details:

Something wrong or inaccurate about this page? Let us Know!

Thanks for helping us continually improve the quality of the Lantern search engine for all of our users! We have millions of scanned pages, so user reports are incredibly helpful for us to identify places where we can improve and update the metadata.

Please describe the issue below, and click "Submit" to send your comments to our team! If you'd prefer, you can also send us an email to mhdl@commarts.wisc.edu with your comments.




We use Optical Character Recognition (OCR) during our scanning and processing workflow to make the content of each page searchable. You can view the automatically generated text below as well as copy and paste individual pieces of text to quote in your own work.

Text recognition is never 100% accurate. Many parts of the scanned page may not be reflected in the OCR text output, including: images, page layout, certain fonts or handwriting.

Les Toasts Après avoir donné quelques lettres et télégrammes d'excuses notamment du Syndical de Paris — le Président prend la parole en ces ternies : Discours de M. BONNAUD-GRIMALDI Mesdames, Mi urs el ehers Collègues. Lorsque, il > .1 un mois fi peine, m nom de noire Syndicat, j'invitais tous nos collègues du Syndical français ., organiser t. prochain iphie .1 Ni.-.-, j-.-i ;, j loin de me douter .| lans un h rapproché j'aurais le plaisir de voir r< unis dans un banquel rralernel un iiussi grand nombre ■ I imis. Avanl tout je me fais un bien agréable devoir de remercier tous ceux qui uni n pondu avec un -i rordial empressemenl î Ire invitation. De tous les devoirs qui m'incombent, il en <*sl 'm donl je me hâte de macquitler avec une satisfaction toute particulière. Sans fleurs de rhétorique, laissez t llir'' Mesdames, que vous .Hes lu plus belle parure de celte rèle el que nous vous en savons 1 1 1 1 i 1 1 i 1 1 1 • 1 1 1 gré. Je me tais certainement l'interprète de tous les Directeurs de théâtres cinématographiques 1 profitant de l'occasion qui s'offre i nous de reim rci< r M coininandanl Virello du Corps des sapeurs | ,, de sa pn sence a celte fêle amicale, mais encore de In parfaite urbanité avec laquelle il s'acquitte de la surveillance de nos rnenls. Je l issure que tous les IHrecleurs nul ' ••'■"■■■ d ms leur propre inlén 1 d'ailleurs, h -'■■"in. • Un public qui rn quenle 11,» qu'ils exécuteront d.' bonne . ['I' -.1-1 |.l I..IJ II. r. Vux repn sentants de la Pr locale, je me r" un plaisir d'adr r mes remerciements les plus -m. 1 ■ d'avoir accepté noire iuvil in. .n. un Balul fraternel A toux -mi. II.' .1 .In S||,| | K| Il Itl'esl |. irln-uli.i-.vn.nl . _• i . . t . t ,|, miiuII -1"'1' l« vei pari i. de \ recteur du • m. 1 ..,,., ,• Durei us, qn,. ,|. M Lallemand, un des icllfs dli . t, m 1, d'hoi . ■ "llln ni précieuse 1 n Moniteur Louis pi 11 -de noire Syndical, noi fondement reconnaissante, s sens lention de .\l.\f. Ambrosio et Gandolfi Leurs de la célèbre Orme. Nous prions, M. Pabre, l'artiel du public, leur déli plus \if> remercie m>. pour leur Joli Enfin, j. me rearis scrupule d'oublier noire dévoué secrétaire qui .1 fait de son mieux pour assurer la réussite de notre fêle. Je Mu doublement heureux .1 ivez bi..-n voulu répondre breux & notre appel amical, car j'espère que "•lie fête f-r. blier les quelq sentiments qui existaient dans notre corpora Voyez, Messieurs, pour être forts, il faul s'unir sans arrière-p •le celle union, car notre jeune industrie, si ,,||r N,Ml1 rivi 1 grandir, ne doit pas employer ses roreee naissantes a des polémiques inutiles. Je s,, uh.nl. pour l'avenir .lu Cinématographe, que tous ceux qui travaill périté. qu'ils soienl Exploitants einémalograptdques, Editeurs de Qhns uu ■ • meurs, comprennent iéur devoir el qu cuii r.isM un efforl pour arriver rapideuieiil •' la fonmati l'un.' ctiambre Byndji 1 d '"'"' K"1, '■'•■ 'i nationale el lutern A '•• sujet, |e liens .1 présenter toutes mes félicitations ;. m. bureau, l'éminenl din du Ciné-Journal ., el ;. M. Boursii Syndical du Sud-Est, qui, les premiers lancé discrètement <•■• projet. M lis Messieurs, |« vous avais pro banquel, de poliliq de pard Xous ivons songi que ,1 ,,,.. ,,,. banq ; danl ne penser qu'au cinéma. 1 11 de nus R n pour ne , m le M mer, le rharmanl direct» r'1"'11'1 1 • "ne native .pu |( le plus grand honneur Nour garderons \i i; u 1