Cine-Journal (May - Jun 1912)

Record Details:

Something wrong or inaccurate about this page? Let us Know!

Thanks for helping us continually improve the quality of the Lantern search engine for all of our users! We have millions of scanned pages, so user reports are incredibly helpful for us to identify places where we can improve and update the metadata.

Please describe the issue below, and click "Submit" to send your comments to our team! If you'd prefer, you can also send us an email to mhdl@commarts.wisc.edu with your comments.




We use Optical Character Recognition (OCR) during our scanning and processing workflow to make the content of each page searchable. You can view the automatically generated text below as well as copy and paste individual pieces of text to quote in your own work.

Text recognition is never 100% accurate. Many parts of the scanned page may not be reflected in the OCR text output, including: images, page layout, certain fonts or handwriting.

[ui me 'lonne l'oceanereief nos amis d'une i ■ û'cate don! tous été émus. i plus, le Mi-li b b mne humeur et ! sourire de M. Grinialdi résume notr synthétise, il l'explique. Il n'en poi autrement à Nice, pays de ga où il n'y a que des gens ■ lk la terre latine r l'heureuse i rranche urbanité I i béni des dieux, qui me rappelle une Jolie légende cueillie l'autre jour dans un jour .< laquelle j'inlroduis uni riante. Elle disail que -i Dieu veul ouvrir l i porte «lu paradis 1 œil aUendri, m lis nn izzaroni, il reporte son . corniche donl la vision c jouit .-..m cœur. Que vous êtes heureux, exploit i de vivre dans ce pays, au ou l'on n un iii ni les neurasthéniques, ni les moroses, n'est-il pas vrai non cher Grinialdi, vous le prototype des Niçois toujours li nables, toujours afl Jours accueillants? Aussi vous comprendrez q Inoubliable que vous nous raites dans le jilu* beau pays du monde, il m'est dlfflcl yeux el i i cœur font un peu la nique ù la froide raison, encore que le cinématographe représente lui aussi toul ci : i El ci p menl nu .1 pourrait-il — ne f"*se qu'un menl oublier qu'il i une mission bien définie el qu'il faul sa\ l'utile U . ■il Tnlers, dis el ccrlainemenl mil éléments vivll »ez-m xprl r l vœu, fut-il platonique, • !■■ voir nus .i . premiers -■ -..n de ••■•II. !•'• i Nous soinii es ... peu cou '■> qu'unlssail u : ■ nous ne pouvons i • nous question • Nos di u\ pn d i uis une ■ nui .i purcourir. Noua \."i in-'i de n.. | m. >i !•■ n un peu -lu iiii.li el p| tu.\ Klai dres, ;. ::iir bientôt ■ vient, tous ceux qui uni r< il a mi dire aux dames toul .■■ plaisir que nous éprouvons de les voir au milieu de nous, •■) n'en déplaise à Nice, leur charme nous fait oublier les (leurs de la belle cité .m parfum ment, — avec cette rninl.Mii qui réunis i i mon tour, tressanl des couronnes M. Dureau, donl ii I" bien que j. pense, ou peul lui appliquer la belle définition Cicér !•■ l'orateur Dicendi Pei l'homme probe, li ib :< bien écrire; nos éeienl son ■ rvileur en particulier le félicite de n. m tracer la \<>f .•! de nous montrer le chemin a suivre. \\--< nu pareil profi -i avoir un., pléiade emenl .'i cœur d'indiquer le plaisir que i •■lu la va le M. Lalle ul. irradier aux multi pour u. .u montrer el il >•-'. l.'i en bo -\ u.pathl [ue directeur .!•• l'Union des Films a Lille . que nos .mu .lu Nord -"'il toujours de .-.i i Midi m\i .; m. ii ..| Bonaz ne irrlèrc el la maison Pallié poinl que nous en confus. union il-' sympathie parlicu qui groupe li de loua, •u ,-i donl i.' • ■ ■ i n de n i