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devant le brasier.
Vive donc Nice la belle, la captivante, la Me guette nagique, atUre loin
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issi à lous nos Syndicats el vivat pour notre belle industrie, qui permeJ a lous, riches "ii pauvres, artisans mi ouvriers de sor
tfalild brutale pour vivre les beures ,i es du rcA-c, .le l'émolion. des
M. Lallement. de l'Agence Générale Kastor. Astaix et Lallement, se lève alors et dit :
n Voit i le lexle du télégramme que l'Agence Générale Cinématographique Kastor, Astaix et Lallcuicnl adresse <tu\ invités du Syndicat de la Côte-d'Azur réunis en banquet /rulernel au Cecil Hôtel » :
Les deux malheureux restés à l'a ri s sont obligés de faiic appel à tout ce qui peut rester de bons sentiments dans le cœur de loueurs cinématographiques pour ne pas être trop jaloux de leur heureux associé qui se promène au beau soleil du Midi, avec de bons amis et de charmantes dames, pondant qu'eux, rivés ,i leur sombre bureau, dans un Paris embrumé. composent des programmes el
voienl passer de mauvaises bandes
Le seul moyen de vous faire pardonner c^t de primer très cordialement, à tous nos :imis du Syndical de la Côte-d'Azur, i loi r sympathique président et aux membres présents du Syndical du Sud-Est,
nos sentiments de liés sincère amitié et tous nos regrets de ne pouvoir être avec eux aujourd'hui.
Mais si nous ne serons pas présents matériellement, dites leur bien que nous sommes avec eux de tout cceur et, lorsque a l'heure des toasts vous lèverez votre verre
nous en ferons autant, cl si \otis écoule/ bien à ce moment la, vous entendre/ certainement l'écho de nos bons souhaits chaleureux qui vous arriveront par télésympathie
sans hl.
Asi \|\. K ISTOK.
Notons enfin que M. le Commandant des sapeurs-pompiers dont la présence honorait le banquet prit aussi la parole en termes amicaux pour dire tout le bien qu'il pensait
des cinématographistes niçois, dociles à scs recommandations, et de l'avenir de la cinémathographie.
Entre temps, lorsqu'on eut distribue do liés agréables friandises souvenirs, offertes par la maison Ambrosio, noire ami Hobinel qui avait franchi les Alpes pour nous serrer la main, prit la parole et dit ces choses éternelles :
« Mesdames et Messieurs, les discours les plus longs soûl les plus courts.. C est pourquoi je serai bref. Merci à toutes, merci à tous. ... Je suis coûtent. . . énormément. . pour la maison Ambrosio et pour moi! »
Une salve d'applaudissements accueillit ces paroles et l'on but à la fantaisie intarissable de Robinet
Lire la fin du Compte rendu dans le prochain numéro
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