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I andii que les effet» de la guerre italo-turne, <|ui ne semble pai près de finir, commenSH à -i faire sentir dans toutes les branches u commerce et de l'industrie de la péninsule, ■ elles ont une liés fâcheuse réper: ion, il esl deux spécialités cependant qui mblenl devoii en retirer grand profit : la méillurgie d'une part et le Cinématographe de autre
En ci qui i oni erne ce dernier, on comprend itémenl que la campagne actuelle lui fournit I ; le matière à attractions.
I -• publk italien suit ave< une attention pas
u !'<■< un, k^ phases des différents unbats livrés en rripolitaine ainsi que dan Iles de la met I gée et il n'est pas, en Italie, r i inéma qui se respei te, n'ayanl p i rogramme un ou plusieurs films repro ta hauts faits des pioupioui italiens.
II en résulte i e fail i arai t< i i tiqw rut. mais nullement anormal, que
ni fail tant de » ii times .1 tribu
derniers temps, dans une laige mesure, à l'amélioration de la situation matérielle de no exploitants qui font de très bonnes affaires.
Or, lorsque les exploitants réalisent de belle recettes, l'industrie cinématographique, pri* dans son ensemble, ne peut qu'en bénéficier éga lement.
C'est pour cela que, — toute question d'humanité réservée, — les Cinématographistc, italiens voudraient bien que cela dure toujou ainsi. Bien entendu, ils préféreraient que Ici prospérité actuelle fut attribuable à d'aulrt caises moins cruelles.
On a décidément réalisé, en Italie, de façon extrêmement sérieuse, la question de la pro priété d'une œuvre cinématographique. Désoi mais, cette propriété se trouvera entourée <l toutes les garanties voulues et un film, appal tint-il à une maison d'édition ou à un auteur, pourra être interdit et saisi, s'il n'est pas projeté dans les conditions prescrites par ses propriétai res ou s'il est grevé de restrictions.
A ce propos, le ministre Mitti vient d'adres ser à tous les préfets du royaume, une < in ulain aussi étendue qu'explicite, pour leur prescrire minutieusement toutes les mesures à prendrt pour sauvegarder les droits de propriété.
Tout film cinématographique dont les au teurs ou les fabricants voudront s'assurei la propriété et l'exclusivité, entière ou partielle, devra être soumis à un poinçonnage préfet toral auquel il sera procédé avec le plus grand loin et de façon à ne laisser la porte omette à au cune discussion.
A défaut du film lui-même, il pourra étn
m umis .m poinçonnage une reproduction pho
lographique de ce film, mais clans tous les < M
il faudra que, dans la déclaration y afférant,
déclaration reçue moyennant le versement
d'une taxe. le nombre exai t d'Ùns
Oient indiques.
Le poinçonnage s'opérera de telle façon, qu'aucune fraude ne sera possible.
Le film ou la reproduction photographique
<le celui ci, sera traversé dans toute s.» longueui
pai un iil solide, une ficelle mime plutôt, aux laquelle -cia app
i ni t poinçon.
roui que >e | içonage officiel soil reconnu
valable, il faudra qu'en t'>ut< circonstance la
lu elle soil absolument il I |
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I e ministre, en im itanl les prt !>is à ■ ommu niquei ces d