Ciné-journal (Sep - Oct 1912)

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— 33 — que les tarifs pratiqués el quand on fixera un tarif minimum à 0 fr. 25, je ferai payer 0 l'r. 30. Si on ne fixe pas un tarif minimum pour Le ga-oupemenl de Marseille, d'accord avec les loueurs, il est, absolument inutile d'agiter la question du relèvement des prix parce que personne n'en voudra. M. Richebé. — Le principe de la répartition eïânt adopté, nous allons convoquer les exploitants par quartier, puis nous convoquerons les loueurs. M. Boursier. — Je vous prierai de demander a l'assemblée générale si on veut ad, pic un prix minimum. .M. Mouttet. — G'esi une idée que vous émettez. Monsieur le Président ne peut mettre aux vois une idée. Veuillez donc faire et déposer une proposition dans ce sens. M. Boursier. — Mais quand on voudra; Je iii pose ma proposition verbalement. M. hichebé. — U serait préférable de connaître d'abord l'étal d'esprit des exploitants de clia [ue quartier. M. Avgclin. — Comptez-vous convoquer d'abord la première catégorie el ensuite la deuxième? on ce qui corn erne je ne dirai rien avanl de savoir ce que les exploitants du cen Ire feront. M. Richebé. - Mercredi, je vais commencer à réunir la première i atégorie. .M. Fougue. — J'ai dans • >nn quartier un exploitai non syndique: su u augmente pus ses prix que il 'vrais-je faire'.' M. Hichebé. — Ce sera noire entente avec !■■loueurs qui Lranchera la question. M. Itcy. — C'est un peu impératif de voino-j faire ciC celle queslioll d'à ugmenla 1 1011 .|i,e question de vie ou de morl pour un exploitant. M. Richebé. — Laissez faire le bureau; soyez persuadé qu'il agira au mieux des intérêts c'n i.i corporation. M. Boursier. — Je crois le moment mal choisi; il n'y a qu'à laisser les choses commeelles Sont. M. Richebé. — ÎYous discutons une proposi tion de M. Pinatel, je suis obligé de la déveïqp per; nous devons aller jusqu'au bout. M. Boursier. -' En ma qualité de modeste collaborateur du bureau, je vois constamment I;| peine el le travail q :ette question de l'aug mentation donne à noire président; j'estidjîe indispensable de savoir d'une façon précise ce que pense l'assemblée et d'avoir un chiffre de base. M. Richebé. — Quel prix minimum voulezvoii fixer, 0 fr. 20? M. Boursier. — Ce sera là un prix de base, laissons de côté la question de centre. M. Richebé. — Nous allons voler un principe, nous verrons ensuite par quartier. Je propose donc 0 fr. 20 sans demi-tarif. M. Mouttet. — Je demande 0 fr. 25. M. Boursier. — Nous avons un travail à l'aire; il faut de toute nécessité qu'il corresponde à l'étal d'esprit de rassemblée: le centre n'a pas répondu, niais il n'a jamais fait ni 0 l'r. 20 ni 0 fr. 25. c'esl donc de la périphérie qu'il s'agit surtout. M. Richebé. — Je demande d : si l'assem bk'e accepte le prix de 0 fr. 20. Il n'y a pas d'opposition; il est adopté comme i liiffre de base. .Je viens de recevoir les lettres suivantes : De M" Miane : « Kn réponse à la lettre que je viens de r-ei evoir de voire secrétaire-adjoint, M. Boursier, je vous confirme ce que je vous avais dit sur les effets de l'annulation éventuelle des arrêtés al la lin'-, à savoir que l'annulation ne frappe que l'arrêté déféré au Conseil d'Etat el non pas ceux pris par d'autres municipalités qui cunservenl leur force légale malgré l'annulation de l'arrêté même identigue pris par le maire d'une autre ville. ii 11 convient donc, comme vous l'aviez pressenti que les exploitants intéressés défèrent au ConseiJ d'Etal les arrêtés qui les intéressent dans les deux mois de leur publication. u Je vous serai obligé' de m'indjquer si vous Ginémato graphistes ! Si Vous Voulez Vous A*SiSURER. . • Si Vous Voulez faire VÉRIFIER Vos POLICES en cours. . . Adressez=vous à un \S*PECIA.LISTE dans la matière J, GALLOIS, Assureur=Expert 7, Avenue Trudaine, PARIS. Téléphone : 292-3Q