Cine-Journal (Sep - Oct 1912)

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— i) res, pour ce qu'elle avait de franchise et de détermination courageuse aux côtés de M. Miane. Venu depuis à Paris, le président du Syndicat n'a rien ménagé de son temps et de son activité pour voir les personnalités directement ou indirectement mêlées à l'affaire et c'est avec plaisir que nous pouvons noter ici le succès qu'il a remporté près des unes et des autres. Le président de la Chambre Syn campagne pour sauvegarder les intérêts des exploitants marseillais en face des prétentions inquiétantes de certains grands music-halls, trop désireux de demander au cinéma, contre tous nos amu, les ressources que les « attractions » proprement dites ne leur ont pas procurées. La question est des plus délicates. Il y va de la mort certaine de beaucoup d'exploitants du Sud-Est. On comprendra M' MIANE Avocat-Conseil du Syndicat des Exploitants Cinématographiques du Sud-Est Ancien Conseiller de Préfecture Ancien Secrétaire Général de la Préfecture des Bouches-du-Rhône ricale, M. Jules Demaria, l'a hautement outenu de son influence et de ses con,-eils autorisés. Toute la corporation applaudira à ses efforts et à son désir de iaire oeuvre utile dans les heures difficiles que nous a créées l'inopportune intervention de quelques maires. Mais le zèle du Syndicat du Sud-Est ;e s'est pas arrêté à cette seule tâche. M. vichebé mène en ce moment une vive aisément pourquoi lorsqu'on saura que les salles ordinaires de nos collègues contiennent de 500 à 900 places, alors que celles des cafés-concerts peuvent recevoir chacune de 3.000 à 4.000 personne:-. A programme égal, ces immenses halls seront des concurrents redoutables, mortels même, car la population marseillaise allant au spectacle a des limites et ne saurait raisonnablement aller voir deux fois