Close Up (Jul-Dec 1928)

Record Details:

Something wrong or inaccurate about this page? Let us Know!

Thanks for helping us continually improve the quality of the Lantern search engine for all of our users! We have millions of scanned pages, so user reports are incredibly helpful for us to identify places where we can improve and update the metadata.

Please describe the issue below, and click "Submit" to send your comments to our team! If you'd prefer, you can also send us an email to mhdl@commarts.wisc.edu with your comments.




We use Optical Character Recognition (OCR) during our scanning and processing workflow to make the content of each page searchable. You can view the automatically generated text below as well as copy and paste individual pieces of text to quote in your own work.

Text recognition is never 100% accurate. Many parts of the scanned page may not be reflected in the OCR text output, including: images, page layout, certain fonts or handwriting.

CLOSE UP Actrices capiteuses ! De rAmour ! de la Beaute ! de TArt ! Comment ne mordrais-tu pas a rhamecon dore, mon frere ! * Tel ecrivain, pour s'exprimer de facon originale et trancher avec le reste des mortels, aura recours aux barbarismes, a la erudite des propos ou aux expressions ramassees en forme de bombes... aussi verrons-nous, et peut-etre avons-nous vu deja, des ecrans barbouilles de visions saugrenues, symboles d'un art jaouveau etd'un nouvel agent tres actif d'hyperemie cerebrale. * La vie que cree le cinema est certainement plus agreable que celle dont nous nous contentons. D'abord ne voyons-nous pas qu'elle commence a i8 ans et se termine a 30 presque invaiiablement, stabilisant chacun, de la sorte, a une epoque avantageuse de Texistence. Une sante de fer pour tons. Jamais le moindre rhume, car nous n'apercevons pas trace de mouchoirs. Outre cela, une temperature constante et par la exemption generale de toute sensation extreme du froid ou du chaud. Mieux encore, personne n^est astreint a travailler, chacun a son p)etit home a soi, recoit, sort et se promene a loisir, il n'est meme plus besoin de sortir son gousset car les cheques remplacent la menue monnaie. Pour un rien, n'importe qui sortira son petit camet a souches et vous tendra avec un sourire enchante le petit billet que vous soUicitez. Encore un privilege unique qui n'est pas le notre, helas ; Tabsence de ce facheux fabricant d' ennuis qui est le hasard. Bien 58