Close Up (Jan-Jun 1930)

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CLOSE UP retirent, quand on ne les retire pas. Un physique ebouriffant ne constitue pas iin grave inconvenient . . . affuble de robes flatteuses . . . il passe . . . et repasse, sans provoquer la naiisee. Carpentier, Dempsey, Schmeling . . . trois sportifs populaires . . . ligurent dans une superproduction sentimentale, en gentlemen. Des as ! Les as sont inevitables. Que ne donneraient les industriels du lilm pour repecher les criminels et les vampires de tout acabit, car eux aussi, dans une superproduction, assureraient une location de tout repos. Les scenarios, pour la plupart, tiennent du romanfeuilleton, nourriture par excellence de AL Tout le Monde. II n'y est fait aucune part a I'observation directe, a la pensee, a la realite. Aucune prise pour la reflexion dans ce fatras de situations faites sur commande, ou les personnages ne font que gesticuler et ne vivent pas. L n scenario commercial ne commence, ni ne linit comme la vie, qui ne finit pas. L^n scenario commercial finit inevitablement de la facon dont se terminent toutes les histoires pour cerveaux faibles. II vous sert une tranche de destinee, comme une portion de moka, et Tune comme Tautre sont ecoeurantes. II est superflu de relever la complete balourdise des textes cinegraphiques, joints incommodes et souvent genants qui viennent expliquer ce qui n'importe, et n'importera jamais. Ah ! le cinema . . . Freddy Che valley. 149