Le Courrier Cinématographique (Sept 1911)

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Le Commerce Extérieur . Le Courrier Cinématographique vient de prendre une importante initiative en s'atiachant un rédacteur spécial Pour les questions du commerce extérieur, intéressant la Cinématographie et les industries qui s'y rattacient,. Dans cette rubrique notre collaborateur F. Wanda publiera Chaque semaine : Les résultats de nos enquêtes personnelles. Les indications qu’il nous sera possible de recueillir dans LS rapports des Consuls français et étrangers et des attachés commerciuux. Nous nous efjorcerons toujours de donner à ces renseignements, une partie vraiment pratique, assurés d'avance que nos abonnés en comprendront toute l'importance. Brej, notrerôle sera de faciliter autant que faire se pourra, l'exportation de nos produits, et notre but sera atteint si ns pouvons aider à développer les intérêts de nns industriels. .… Îl paraïtrait que dans la ville de Guatemala (Guatemala), il ny aurait qu'un seul négociant vendant des appareils e’ des fournitures photographiques. Ce nésxociant aurait le mohopole de vente d'un fabricant américain. IL n’est pas douteux que nos industriels pourraient trouver dans cette ville, qui compte plus de 100.000 habitants, un placement faeilé de eurs appareils. … Un article peu connu au Honduras, et dont les débouchés, à n’en pas douter, seraient excellents, c'est le phonographe. D'une population d'environ 750.000 habitants, dans une position topographique admirablement belle, cette contrée très fertile, est appelée à un grand avenir commercial après l'achèvement de sa ligne de chemin de fer reliant les deux Océans. Du reste le développement du Honduras en ces dernières années est considérable ; la population ayant presque doublé en 5 ans. .Les distractions y sont nulles, tant dans la capitale TécuCigalpa (en langage indien « Montagne d'argent ») que dans toutes les autres localités; aussi, Ce-genre de passe-temps serait-il particulièrement bien accueilli en raison qu’il est presque impossible d’avoir des pianos par suite des difficultés existant encore dans les communications, En outre c’est un article facile à vendre par l’intermédiaire d'agents sérieux ou de catalogues. Quant au cinématographe, nous croyons que ses débouChés seraient intéressants ; car celui qui monterait une salle de spectacles dans la capitale (1), pourrait donner des représentations dans, plusieurs villes de l’intérieur, en même temps qu’il s'occuperait de la vente de phonographies, instruments de musique, appareils de photographie, etc., ce qui lui donnerait une plus grande chance de succès. F. WanpA. (1) Técucigalpa, la capitale compte environ 35.000 habitants. CAEN HA EN AEN EnR HEAR CA ECC RAR EC AREAS GEAR HEAR PACE UNE RÉFORME DOUANIÈRE. — he — M. Raymond Sprécher — nous prie d'insérer la lettre ctdessous, qu’il a déjà publiée dans les colonnes du Ciné Journal notre estimé confrère. C'est avec le plus vif plaisir que nous déférons au désir qu'il nous exprime, d'autant plus que la question mérite d'attirer l'attention. Nous la posons aujourd'hui et nous nous prometions d'u revenir prochainement et de joindre nos efforts à ceux de nos amis. Il s’agit de la douane perçue sur les films échantillons envoyés à l'étranger, ou sur ceux qui, de l'étranger, nous LE COURRIER CINÉMATOGRAPHIQUE 5 viennent en communication. Il y a beaucoup d’éditeurs et représentants sur la place qui envoient des films échantillous dans différents pays, ou qui, à titre de dépositaires recoivent de l’étranger des bandes en communication. Pour ces films, il faut d'abord payer les droits d'entrée dans le pays destinataire et les repayer ensuite au retour dans le pays producteur. Or, Messieurs les voyageurs de commerce ou les cntrepositaire-, recevant de l'étranger des échautillons marchands (dentelles, soieries, etc., etc.), recoivent une quittance de déchargement leur permettant, pendant un certain laps de temps de se servir de ces échantillons pour la vente et de les renvoyer ensuite, sans avoir eu aucun frais de douane à payer. Pourquoi nos marchandises qui paient déjà fort cher ne seraient-elles pas assimilées en douane à tous ces produits ? ; On me dira qu'il est très difficile de vérifier ces bandes, cat un pointage quelconque, peut par un simple collage êtr> reporté sur un autre film, du même poids, sans que les agents douaniers puissent avoir le moindre soupéon; mais nous pourrions peut être trouver un auv'e moyen ? J'ai pu m'entretenir à ce sujet avec un insp cteur des douanes. Ce fonctionnaire m'a répandu que le cas n'avait jamais été étudié et qu'aucun ordre n'avait paru. ayant trait au dédouancment de cette marchandise comme échantillon en retour. il serait donc à souhaiter ‘ue quelques intéressés se réunissent pour emander à la Direction des douanes de bien vouloir examinér attentivement cette réclamation qui, à mon point de vue, ést loin d’être négligeable. Raymond SPRÉCHER, 13, faubourg Moutmartre. NC HN RONC LEA NC HN EAP FAC ARR HR PAPER POP PAC HAE HAN PA . UN BON TUYAU Comennane ons rene Grand Dieul Nous ne connaîtrons donc jamais Paris, nous n’arriverons donc jamais à sonder les arcanes mystérieuses de notre chère cinématographie? On croit.tout connaître, tout savoir et tout à coup on se trouve en présence d’un problème nouveau, on fait une découverte agréahle ou utile. C'est ainsi que passant par hasard rue de Trévise, nous avons découvert, au n° 30, un comptoir cinémuatographique derrière lequel un vendeur, fort aimable, débite à une celientèle fidèle et nombreuse les trésors de son vaste magasin, Il y a de tout daus les rayons du Ciné Office, Le stock de matériel cinématographique dont il dispose est considérable. On trouve là des postes complets pour tous les systèmes d'éclairage. IL y en a de toutes les marques et ce qu'ou remarque de plus stupéfiant c’est que tout cela est vendu meilleur marché que partout, meilleur marché que chez les fabricants. On vend aussi au Ciné Office des pièces détachées, des projecteurs, lampes à arcs, lauternes, tables, cart rs, tableaux de distribution, petits moteurs, cabines, bobines, charbons, écrans, objectifs, postes d'éclairage, appareils de prise de vue etc., etc... , C'est le grand bazar du Cinéma. Son directeur sait dénicher les bonnes occasions. Professionnel averti et expérimenté. Il est en même temps un guide sûr pour sa clientèle à laquelle il vend bon marché et en toute confiance. Ceci suffit à nous expliquer la prospérité du Ciné Office, l'essor considérable qu'ont pris ses affaires. Et nous sommes heureux de faire connaître à nos lecteurs, à tousles cinématographistes qui cherchent à Prris le correspondant, le fournisseur consciencieux, l’adresse du Ciné Office; 80, rue de Trévise, que nous leur conseillons de noter: sur leurs, tablettes. A" a imseré DL