Le Courrier Cinématographique (Nov 1912)

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LE COURRIER CIN Au Casino de Paris M. Barton, notre aimable collèoue du Casino de Paris, est un manager heureux. Sous sa direction experte et vigoureuse, le somptueux établissement de la rue de Clichy revit la splendeur de ses anciens jours. La foule parisienne y afflue chaque semaine plus serrée. Une clientèle nombreuse et fidèle se constitue. Elle vient applaudir des spectacles de premier ordre dignes du cadre unique dans lequel ils sont présentés. Le cinéma n’a plus guère de secrets pour M. Barton. Aussi, notre ami sait-il choisir, entre mille, les pièces à succès des meilleures sociétés d'édition. Mais il est surtout un grand dénicheur d'étoiles. Mieux que personne il excelle dans cet art et la scène du Casino de Paris éclaire de ses mille feux les artistes les plus célèbres. PILLISCHER La Belle FEDORA C’est ainsi que, dernièrement, nous eûmes la très grande joie d’applaudir une célèbre transformiste, Frégoli féminin, en la personne gracieuse de la belle Fedora. Qui ne connaît cette habile artiste ? Le numéro original qu’elle présente constitue, à lui seul, une attraction de premier ordre et, si les clients de notre ami Barton lui firent fête, ils furent des mieux inspirés. EMATOGRAPHIQUE La Fedora, lorsqu'elle vint se faire acclamer à Paris, rentrait d’une tournée triomphale. Elle avait traversé l’Italie et l'Espagne. Infatigable, elle part pour une nouvelle tournée. Après PAloérie et la Russie, la belle artiste ira cueillir en Amérique du Sud l’ample moisson de lauriers que lui vau: dront ses talents variés. La Fedora danse, chante, exécute mille transformations, et termine son numéro par une séance de tir rapide. Elle .est adroite tireuse et porte avec modestie deux médailles d’or, gagnées au concours de tir de Cabourg en 1910 et1911. Saluons la Fedora à son départ, et souhaitons-lui un heu: reux voyage. de de de de de de de de de de de de de de de RS LAS LES RE LES RS RE TRS RS RS TRS DES DR DES LE Les Commandements de Dieu aux Cinématographistes Transmis par M. A. GOIRAND Directeur de l’Eden-Cinéma, à Paris. Un seul programme par semaine lu changeras JNWin de vivre longuement. Les belles vues seulement tu prendras Pour faire recette convenablement. De l'accaparement tu le méfieras Comme de la peste pareillement. Le dirganche tu encaisseras €n servant ta clientèle dévotement. Les loueurs tu honoreras Jusqu'au porte-monnaie seulement. Con voisin tu occiras S'il couvre tes affiches volontairement. D'ambition point ne seras Pour s'aimer plus fraternellement. Les Marseillais, en bouillabaise tu mettras S'ils paient les vues trop chèrement. Des louanges du « Courrier » tu chanteras, Cu ne mentiras pas certainement. Ces bouts rimés, Le Fraper ne coupera Pour que irépasse Goirand chréliennement. L’'Accaparement est un Crime Commercial EE à ul